1
Tell me why
Tell me why, tell me why Is it hard to make arrangements with yourself, When you're old enough to repay but young enough to sell? Bon on arrête avec Neil Young et l'art et on revient à "Alors on...
le 17 mars 2022
3 j'aime
L'amour à bas prix
Je sais pas comment elle trouve du fric pour faire ses films ; j'imagine que malgré la qualité médiocre, il y a un public, probablement des vieux, qui suit.
L'idée n'est pas mauvaise, on sent le potentiel pour une comédie populaire. Mais le dévleoppement est très faible, l'auteure ne creuse pas assez ses situations, ça manque de gags percutants, et même de gags tout court. Les personnages sont faiblement exploités. On manque de repères comiques, par exemple la salle de fitness n'est pas assez mise en avant.
La mise en scène est pauvre ; Laroque peine à trouve le bon plan pour valoriser ses gags ; parfois sa manière d efilmer fait penser à une série AB des années 90, avec les mauvais figurants en prime. Les acteurs sont en mode automatique, perssonne n'étincelle vraiment.
Et puis il y a ce générique de fin qui met mal à l'aise : les 4 acteurs principaux autour de Maxime Le Forestier qui interprète un de ses morceaux phares.
Bref, très mauvais. Dommage parce que j'aime bien Laroque à la base, ainsi que les 3 autres acteurs principaux du film.
3
Écrit par
Créée
le 29 août 2022
Critique lue 175 fois
D'autres avis sur Alors on danse
4
Aussi dynamique qu'un nain de jardin
Alors on danse se révèle être un film sans dynamisme qui n'apporte au final aucun enjeu à l'histoire. Et même si les acteurs sauvent le film en rendant leurs personnages parfois drôles et...
Par
le 24 févr. 2022
2 j'aime
4
Critique de Alors on danse par flowrak
J'ai eu savamment peur des notations sur Allocine ou même ici. Et ça m'aurait vraiment pas surpris si ce film était une gigantesque daube. Mais dans le marasme du cinéma français qui ne respire plus...
Par
le 22 juil. 2022
1 j'aime
Du même critique
5
Django in White Hell
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
122 j'aime
35
10
Parfois je ris, mais j'ai envie de pleurer
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
120 j'aime
45
5
Critique de Taxi Driver par Fatpooper
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
108 j'aime
55
