Welcome home champ !
Deux célèbres vedettes sont interviewées et évoquent leurs souvenirs donnant lieu à un long flashback. Un film tourné pour la Paramount par le tandem Jerry Lewis / Dean Martin et réalisé par...
Par
le 5 févr. 2024
C'est la première fois que je vois un film du duo comique de Dean Martin et Jerry Lewis, qui sévit de 1946 à 1956 dans les salles de spectacle outre-Atlantique et apparut dans pas moins de dix-sept productions hollywoodiennes. Je ne sais pas si c'est toujours pareil, mais autant Martin fait preuve de sobriété, autant les grimaces de Lewis, sa voix nasillarde et haut perchée et l'usage abusif du comique de répétition rendent la chose un peu pénible à regarder...
Ici nos deux compères s'associent sur le circuit de golf professionnel, un business plus lucratif que la pêche en haute mer, afin de subvenir aux besoins de leur modeste famille (d'adoption pour Lewis, promis à la petite sœur de Martin). L'un fait le joueur, l'autre le caddie, et les voilà partis semer le chaos dans le petit monde très select de la petite balle blanche, aussi bien sur les parcours que dans les luxueux salons des club-houses.
On note, pour les fans de golf, les guest appearances - parfois un peu gênées - de quelques-unes des grandes stars de l'époque : Ben Hogan, Sam Snead, Byron Nelson ou encore Julius Boros. Et si les pétillantes Donna Reed et Barbara Bates rivalisent de charme, The Caddy peine à susciter l'enthousiasme, la plupart des gags tombant à plat pour un résultat d'ensemble assez moyen.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Les films de golf et Les meilleurs films de 1953
Créée
le 3 juil. 2020
Critique lue 265 fois
14 j'aime
6 commentaires
D'autres avis sur Amour, délices et golf
Deux célèbres vedettes sont interviewées et évoquent leurs souvenirs donnant lieu à un long flashback. Un film tourné pour la Paramount par le tandem Jerry Lewis / Dean Martin et réalisé par...
Par
le 5 févr. 2024
Du même critique
Étonnant... Je viens de voir ce film qui s'intitule La Tour sombre, mais qui n'a rien à voir avec l'excellentissime série de romans de Stephen King... Et pourtant, j'ai bien cru voir le nom de...
Par
le 18 oct. 2017
27 j'aime
6
La Main au collet est la preuve indiscutable qu'autrefois, la Côte d'Azur n'était pas bétonnée... Qui l'eut cru ? Tourné durant l'été 1954, le vingtième film américain d'Alfred Hitchcock, qui s'ouvre...
Par
le 3 mai 2017
26 j'aime
12
Un film qu'on pourrait qualifier de jeunesse, bien qu'Alfred Hitchcock eut alors près de 40 ans, tournât son seizième long-métrage parlant et s'apprêtât à quitter son île natale pour les États-Unis...
Par
le 4 avr. 2017
25 j'aime
10