Désolé si des amis d'Alexandre passent par là, je n'ai rien contre lui, mais faut dire que notre ami a dans ce film quelques ennuis et qu'il passe bien pour un con. Déjà, à cette époque, Alexandre n'avait pas abandonné son projet secret de finir par ressembler à Ticky Holgado, et faut dire que c'était pas mal joué de sa part, les frisettes, le visage certes sans bouc, au centre duquel trônait toutefois un pif rond comme il faut, un air d'ahuri, c'était bien joué et plutôt bien parti.
Mais là, faut bien dire que se laisser enfermer dans K 2000 avec un tancarville après l'avoir vexée en ne lui faisant pas confiance n'était pas forcément très judicieux.
Nous aussi, on a plein d'histoires à la con de ce genre, plein d'emmerdes avec des histoires de clefs, des bagnoles qui s'ouvrent pas. Allez, je vous livre une exclusivité sur mon propre compte (il n'y a pas de raison qu'il n'y ait qu'Alexandre qui en ait pour son grade) : votre serviteur n'arrive plus à arrêter l'essuie glace arrière de son tacot, qui s'active quelque soit le temps, notamment en plein soleil. C'est pratique quand il pleut, mais sur la Côte d'Azur au mois d'août, t'a pas l'air fin.
Voilà le genre de chose qui t’agace. Ici, c’est Alexandre Astier qu'est dans la mouise, ça devrait être drôle, mais en fait non, pas trop. Un film dispensable.