Critiques de Aniki Bóbó

sufjan79
9

les 400 coups au Portugal

17 avant les 400 coups, Manuel de Oliveira réalise son premier film, un des plus beaux films sur l'enfance. Impossible de ne pas penser au film de Truffaut et de se dire qu'il s'en est forcément un...

le 9 mai 2010

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constancepillerault
7

Critique de par constancepillerault

Ce titre qui sonne bizarre est en fait un extrait d'une comptine, sorte de "am stram gram, pic et pic et colegram" ... -et la suite- en version locale. Les héros du film sont en effet des gamins...

le 20 avr. 2020

1 j'aime

Cinephile-doux
6

Poésie de Porto

Au temps de son premier long-métrage, Manoel de Oliveira était encore un jeunot, 34 ans seulement ! On a vu dans Aniki Bobo un film précurseur du néo-réalisme et il est vrai que cette chronique...

le 5 sept. 2019

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giuscescu
5

Critique de par giuscescu

C'est vrai qu'à voir ce film, on pense aussi aux "'400 coups", ou à "L'argent de poche" de Truffaut. Mais aussi à "Jeux interdits" de Clément, à la fausse bonhommie de Renoir, ou au néo-réalisme...

le 17 janv. 2014

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Fatpooper
4

Sales mioches !

Bof, pas vraiment accroché. C'est trop gentil ; les conflits sont rares, on ne sait pas trop où on va la faute à une absence d'objectif principal ; il faut attendre la fin pour que ça bouge un peu...

le 29 juin 2020