Animal était l'un des films les plus attendu en salle indienne depuis la fuite des photos du tournage ou nous apercevions un Ranbir Kapoor en costume trois pièce loin de l'image de celle de son personnage dans Bramastra tournée la même année, qui connu un succès incroyable. Dans ce film tant attendu nous retrouvons donc Ranbir Kapoor, un des plus grands acteurs de Bollywood qu'on ne présente plus accompagner d'un casting tout aussi connu avec Anil Kapoor et Bobby Deol grandes figurent du Bollywood des années 90. Dans les premiers trailer, nous savions que nous aurions à faire à l'histoire d'un fils dans une relation difficile, malsaine avec son père, qu'il idolâtre, sous couvert de vengeance, de crime et de conflits amoureux. Nous partions donc avec un excellent casting, des personnages qui semblait très charismatique et une histoire très intrigante. Mais malheureusement, les cinq étoiles, que je mets au film ne sortent pas de null-part.
Disons le clairement, en ne passons pas par quatre chemins. Ce film n'est pas bon et je comprends ceux qui pourrait aller jusqu'à dire qu'il est mauvais voir horrible. Il souffre malheureusement d'une maladie qui habite la plupart des films indiens sorties ces dernière années, la maladie du scénario à rallonge. Le scenario qui continue en espérant que à travers des scènes d'actions incroyables, ou le héros est montrer sous son meilleur jour, les spectateurs passeront devant les nombreux couaque qui jalonnent le film. Cependant les couaques sont beaucoup trop gros et beaucoup trop visible.
Tout d'abord nous avons la premier partie du film qui est assez bonne, on passe un bon moment lors de la première heure de visionnage. Nous retrouvons un Ranbir Kapoor sous les traits de Vijay qui a du mal a communiquer avec son père jouer par Anil Kapoor. Celui-ci ne désire que passer du temps, qui idolâtre et désire à ses cotes plus que tout au monde sauf que nous avons son père qui le néglige et ne vois en lui qu'un possible rater. J'ai beaucoup aimer la dynamique de leurs relations et tout ce qui en découler. Si Ranbir, Bobby Deol ou encore Anil Kapoor sauvent beaucoup par leurs performances les actrices ne sont pas en restes. L(actrice Rashmika Mandanna qui avait déjà crever l'écran dans Pushpa face à Allu Arjun, ne se laisse pas éclipser et livre une performance incroyable. Que ce soit en incarnant la jeune fille qui tombe amoureuse et abandonne sa famille pour suivre la passion interdite ou bien la femme brisé, désespére, nous sommes totalement séduit comparer à Tripti Dimtri qui joue une Zoya, maitresse et espionne de Vijay fade et complètement effacé.
Ce coté fade on le retrouve bien dans la seconde moitié du film, tout commence à devenir décousu et le film perd de sa super. Même si les acteurs continuent à jouer extrêmement bien, dans des scènes très intense celle ci ne nous percutent pas comme elles sont censé le faire. Elles s'entremêlent dans le scenario qui se perd et finalement nous finissons par nous ennuyez face aux personnages qui sont tout aussi perdu dans le scénario. Je pense sincèrement que le réalisateur aurait du s'arrêter à un film qui se concentrer principalement sur la relation conflictuel entre père et fils sur fond de vengeance sans nous embarquer dans les petites histoires qui rythmes les trois heures de film. Par exemple, je n'ai pas trouver intéressant la manière dont est aborder la relation entre Zoya et Vijay.
VIjay fait d'elle sa maitresse alors qu'elle est envoyer par l'ennemie pour le tuer, on nous dit que finalement il la fait en connaissance de cause mais sincèrement cela ne passe pas vraiment et on le ressent juste à cette instant comme un moyen de rallonger encore le film. A la fin, nous ne savons pas si nous devons détester Vijay avoir de l'empathie pour lui, ou bien le laisser là en acceptant notre sort sur le fait que se personnage est rater, on ne parvient pas à nous attacher à lui comme il le faudrait. Les scènes d'émotions sont bien jouer notamment celle ou Vijay annonce sa tromperie à sa femme mais encore une fois, il manque quelque chose, un fil narrateur pour rendre cette instant globalement incroyable. Je pose cette critique également sur la scène finalement entre Vijay et son père qui nous touche, qui vient nous arracher la compréhension face à la souffrance de Vijay vis à vis de son père mais la encore, il manque des scènes qui aurait du être plus développer. Nous aurions du beaucoup plus nous attarder sur cette relation père fils et les conséquences qu'elle engendre avec plus de temps au lieu de les passer sur des scènes de violences gratuites et juste inexplicable sur le moment.
Le film s'enfonce lorsque on arrive à la scène de combat entre le personnage de Ranbir et celui de Bobby Deol. Bobby Deol joue un personnage horrible, violent extrêmement problématique et il le fait a travers un acting très efficace et mémorable. Au-delà de sa transformation physique impressionnante se retour dans le cinéma est réussi d'après moi. Cependant malgré la magnifique chanson chanter par le célèbre chanteur B PRAAK qui joue lors de ce combat, à part rire ou restait estomaqué face au non sens total de la scène, qui veut se montrer épique mais encore une fois échoue pour moi. Je vous laisse découvrir la scène post-générique qui serrait magnifique dans un nanare de premier ordre.
Je pense que si je ne m'attendais pas autant de ce film vu la hype que son tournage, les déclaration ou le simple fait d'avoir Ranbir Kapoor face à un Anil Kapoor, je l'aurais peut être plus apprécier. Les chansons restes magiques, les costumes sont bien ainsi que la photos global du film malgré quelques plans qui font mal aux yeux, comme celui de l'avion.
Au début du film je n'ai pas pu m'empêcher de voir des clin d'œil malgré moi dans certaine scène. Lorsque on voit Vijay sur sa moto avec une veste en cuir impossible de ne pas pensée a ROCKSTAR, lorsqu'il quitte la maison familiale et que nous avons un plan sur lui qui tire ses valises l'air triste, impossible de ne pas pensée à Yeh Jawani hai deewani avec la chanson Kabira mais malheureusement ce film ne sera pas retenu dans les classiques à voir lorsqu'on parle de Ranbir Kapoor.