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A nose harrier
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le 24 janv. 2011
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Les 4 saisons de vive Mike Leigh
Marrant ces films qui se concluent sur notre moue circonspecte, et dont on ne parvient à savoir si on a aimé ou pas.
Encore plus marrant, faire un tour sur sens.critique renforce l'impression. Entre ceux qui crient au génie et ceux qui hurlent au néant.. et ben notre coeur balance.
Nous voilà plongés entre deux eaux.
Yes, my dear: certaines scènes très belles, des personnages bien campés, des superbes acteurs, une ambiance très agréable. Une bonne photo de la société british du moment. Un certain sens de la vérité.
No way: des scènes parfois longuettes, une insistance lourdingue sur la fêlure de Mary, un gentil couple entouré de gens (tous !) perdus, et puis surtout, surtout... une fin qui nous perd en conjecture (et ? Donc ? Alors ? Conclusion ?).
Donc, au final, une année de plus qui dit quoi ?
Que le temps passe ? OK.
Que la vieillesse est un naufrage ? Soit.
Se sont-ils défiés, avec son compère Frears, à faire un film -dans l'année- à base des quatre saisons ?
Cela dit, j'ai quand même passé un bon moment.
Encore plus marrant, faire un tour sur sens.critique renforce l'impression. Entre ceux qui crient au génie et ceux qui hurlent au néant.. et ben notre coeur balance.
Nous voilà plongés entre deux eaux.
Yes, my dear: certaines scènes très belles, des personnages bien campés, des superbes acteurs, une ambiance très agréable. Une bonne photo de la société british du moment. Un certain sens de la vérité.
No way: des scènes parfois longuettes, une insistance lourdingue sur la fêlure de Mary, un gentil couple entouré de gens (tous !) perdus, et puis surtout, surtout... une fin qui nous perd en conjecture (et ? Donc ? Alors ? Conclusion ?).
Donc, au final, une année de plus qui dit quoi ?
Que le temps passe ? OK.
Que la vieillesse est un naufrage ? Soit.
Se sont-ils défiés, avec son compère Frears, à faire un film -dans l'année- à base des quatre saisons ?
Cela dit, j'ai quand même passé un bon moment.
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le 15 mai 2011
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