Lisbonne, c'est Rio, man...
La nouvelle vague du cinéma portugais serait-elle attirée par le cinéma brésilien ou mexicain ?
En tout cas c'est ce que tendrait à prouver ce court de João Salaviza, 28 ans, considéré comme le nouveau grand espoir lisutanien. Et franchement si c'est pour pondre ce genre de copier/coller des déjà trop nombreux films où des caïds en marcel n'ont pour simple préoccupation que leurs tatouages, ce n'est pas vraiment encourageant.
Quand on pense que "Arena" a été couronné de la Palme d'or du court en 2009, on se dit que parfois le jury se laisse facilement avoir par des choses bien factices.
Allez, je retourne voir Pedro Costa.
NB : Si ça vous dit, deux autres petites critiques de courts portugais.
http://www.senscritique.com/film/sans-mouvement/1551342281940364/critique/takeshi29/
http://www.senscritique.com/film/sang-d-encre/4171229665899058/critique/takeshi29/