Maligningite
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Le jeu des jeunes acteurs est vraiment très approximatif, le népotisme étant passé par là. Arthur, malédiction compose avec des fausses notes, des fautes de goût et des aberrations déraisonnables : par exemple, un pèquenaud gueulard qui a dû souffrir d’une intoxication à force de se pourlécher ses dents excessivement noircies par le maquillage, une musique romantique à chaque fois que le héros et sa bien-aimée se regardent langoureusement, quelle jobarderie, qui est ce succédané de Maltazard qui nous fait l’honneur d’une apparition-éclair quid du type sur le toit, ils n’appelleraient pas - je sais pas, peut-être - la police ou encore un type qui a lâché une bombe lexicale au point de demander si cela appartiendrait à leur vocabulaire alors qu’il a seulement utilisé le mot « calvaire ». De plus, la morale finale est stupéfiante, cette tuerie serait le fait de la drogue… et d’accros au cinéma. Il n’arrive à captiver en mettant en valeur le corps de son atout charme, la dénuder tout en la laissant habillée. Les blagues les plus courtes sont les meilleurs mais celle-ci dure tout de même une heure et demie.
Créée
le 9 nov. 2022
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