Voulant offrir un supplément de poiscaille à tous les amoureux du "Grand bleu", Luc Besson plonge avec son équipe dans les fonds marins, nous invitant à le suivre dans le mythique monde du silence. Sans réel point de vue, Besson offre de magnifiques images qui valent à elles seulent le détour, à condition toute fois de ne pas être allergique à la musique d'Eric Serra (omniprésente ici) et à certains partis pris de mise en scène assez foireux. Mais sinon c'est beau malgré la durée.

Créée

le 27 nov. 2012

Critique lue 644 fois

3 j'aime

Gand-Alf

Écrit par

Critique lue 644 fois

3

D'autres avis sur Atlantis

Atlantis
Gand-Alf
5

Europaquarium.

Voulant offrir un supplément de poiscaille à tous les amoureux du "Grand bleu", Luc Besson plonge avec son équipe dans les fonds marins, nous invitant à le suivre dans le mythique monde du silence...

le 27 nov. 2012

3 j'aime

Atlantis
JuLa
6

Critique de Atlantis par La Pause Thé

Avec Atlantis c'est un peu le melting pot de l'océan que nous présente ici Luc Besson. Découpé en plusieurs séquences de vie et d'émotions, ce projet ambitieux dans lequel il s'est lancé en 1991...

le 18 nov. 2011

2 j'aime

Atlantis
ylath59
5

Le grand bleu marin.

Bon... Ben, c'est beau. Je ne vois pas vraiment ce que je peux dire de plus, vu il n'y a pas spécifiquement de travail visuel, que le travail sonore est, lui aussi, inexistant et que toute la poésie...

le 11 août 2024

1 j'aime

Du même critique

Gravity
Gand-Alf
9

Enter the void.

On ne va pas se mentir, "Gravity" n'est en aucun cas la petite révolution vendue par des pseudo-journalistes en quête désespérée de succès populaire et ne cherche de toute façon à aucun moment à...

le 27 oct. 2013

269 j'aime

36

Interstellar
Gand-Alf
9

Demande à la poussière.

Les comparaisons systématiques avec "2001" dès qu'un film se déroule dans l'espace ayant tendance à me pomper l'ozone, je ne citerais à aucun moment l'oeuvre intouchable de Stanley Kubrick, la...

le 16 nov. 2014

250 j'aime

14

Mad Max - Fury Road
Gand-Alf
10

De bruit et de fureur.

Il y a maintenant trente six ans, George Miller apportait un sacré vent de fraîcheur au sein de la série B avec une production aussi modeste que fracassante. Peu après, adoubé par Hollywood, le...

le 17 mai 2015

212 j'aime

20