Une bouillie numérique d'une absolue laideur dans laquelle toute tension est absente, saupoudrée de réflexion sur le sens de la vie (parce que l'âme des robots n'est-ce pas...) et de réminiscences pseudo freudienne. Ah, on pourrait conseiller aux deux scénaristes (oui ils se sont mis à deux pour nous pondre ça) d'ouvrir une fois dans leur vie un ouvrage d'astronomie, ils apprendraient que pour qu'un signal nous parvienne de la galaxie d'Andromède il faut 2,5 millions d'années... dans le film c'est instantané.! Certes le cinéma a tous les droits sauf celui d'étaler la médiocrité de ses auteurs.