A voir, à partir de la moitié

James Cameron réussi à nous embarquer à partir de la moitié du film, lorsque que la voix de l'eau s'installe. La première partie re-installe la na(vi)ration, un peu lourdement, avec des images à effets jeux vidéo des années 2000! qui nous secouent lourdement et sollicitent notre attention primaire...comme pour dire accrochez vous...Le Ciné-Opéra arrive enfin mais il faut le mériter!? Il a failli me perdre en route. A la moitié du film, le Cycle de l'Eau nous plonge enfin dans un film magnifique, Cameron en tant que passionné d'océan, de technologies d'exploration, d'humanisme...nous embarque dans le jamais vu (scènes sous-marine) les personnages sont bien à leurs places, les membres des familles des tribus: de forêt, d'île et de subaquatique sont toutes présentes...Ce Ciné-Opéra s'emballe, la poésie du 1er Avatar rejoue sa partition pour aller plus loin...l'hymne à la Planète Bleue, au Vivant, à Gaia, est clair et fort!