Scott Adkins qui pête des tronches. Encore. Voilà.
C'est à peu près tout, mais il y a un peu plus. Parce que bon, déjà, ça fait plaiz de voir Adkins causer avec son vrai accent anglais. Ensuite, parce que le film essaye d'avoir un vrai scénario, une vraie intrigue, et que de fait, histoire de légitimer le fait qu'Adkins soit une grosse brutasse, hé ben on le voit en chier et se faire démonter la gueule pendant une bonne partie du métrage. Le problème, c'est que cette histoire est un peu faible, que la construction est artificielle, et qu'au final, on a toujours le même problème avec Adkins autant qu'avec son pote Michael Jai White: Les mecs sont tellement énormes, ont des capacités physiques et martiales telles qu'ils laissent l'impression, même lors du climax, de se retenir, de rester sur la réserve, de se battre avec le frein-à-main tiré.
Mais bon, ça se laisse regarder, et il y a de petits élans gores, donc c'est cool.