Le long métrage commence avec nos deux anti-héros qui veulent créer le buzz, une notion deja depassee en 2017. Etant donné la nature dudit buzz, que je rappelle etre un salut germanique desuet (article 645-1 du code pénal) et un acte charnel canin tout a fait inapproprié (loi n° 2021-1539 du 30 novembre 2021). une fois ce buzz ou devrais-je dire ce bad (mauvais en anglais) buzz (vaine agitation créée autour d'un phenomene passager). De plus ce duo va vivre de grandes épopées notamment avec des migrants et des trisomiques (c'est pas moi c le film). au futuroscoope il y a danse avec les robots, dans badbuzz il y a danse avec les roumains, je vous laisse deviner le quel j'emmenrai ma famille en vacances, voire week end. L'humour est certes imprevisible, cependant j'ai plus ri en me crevant les yeux de douleur.
Des personnages plus vides qu'une boite vide dont on aurait vidé le contenu (je n'exagère pas ils sont empty (vides en anglais)). bref ne faites pas confiance aux critiques élogieuses de la sphère bobo-sovieto-hidlagienne et allez plutôt voir trainspotting 2 qui traite beaucoup mieux les thèmes de la marginalité dans l'espace public et de la coonsommation de substances illicites (lois du 31 décembre 1970 et du 5 mars 2007).
Bonne appétit mes loulous,
Le Goat humble ✍