Avec une filmographie très limitée, Nicole Dorsey arrive à nous proposer un film sur le sport, l'escrime en l'occurence autour d'une nouvelle technologie pour le personnage principal...
Bon, Dorsey ne manque pas d'audace pour son premier film en le faisant durer 2h20 alors que le film peut fiter largement dans 1h30. A l'image de nombreux films qui ajoutent dans le scénario les nouvelles technologies, Balestra tombe dans le film futuriste oubliant totalement le côté sport du film - où une escrimeuse tente de décrocher les médailles avec en point d'orgue les Jeux Olympiques de Paris. Résultat : si la technologie proposée à l'escrimeuse pour s'entrainer dans ses rêves aurait pu créer quelque chose d'original, l'approche où un homme apparaît n'est absolument pas maitrisé... Le truc prend un fil beaucoup trop important. J'ai trouvé le film d'un côté d'une longueur, et de l'autre via des répétitions majeures. J'ai vraiment l'impression d'avoir perdu 2h20 de film.