Sur un scénar de vengeance féminine ultra revu, avec son héroïne badass dépressive mais qui reprend goût à la vie grâce au pouvoir de l'amitié et aux petits plaisirs simples comme une part de gâteau chocolat-menthe sur la plage, ses personnages tous réduits à des caricatures fonctions faussement pittoresques, son esthétique de mauvais clip à la musique sirupeuse et ses scènes d'action même pas bien mise en valeur par un montage pataud, le film n'aurait pas dépareillé dans le fond du catalogue Europacorp des années 2000.