Sébaschien.

Plus les épisodes avancent, plus ils sont mauvais. Les acteurs sont toujours aussi nuls, Tchéky Karyo ne sait rien rendre crédible et Cornillac joue un méchant sans un brin de nuances. L'histoire tient sur une croquette de belle, c'est dire si elle est recherchée. Le personnage de Cornillac vient récupérer Belle après 4 ans sans nouvelles de son chien. C'est en voyant une photo de Sébastien et son chien dans le journal qu'une envie soudaine de retrouver Belle vient le titiller. En voilà une histoire d'une royale minceur. Il n'y a pas d'histoire, ok! Mais Cornillac qui officie ici devant et derrière la caméra pourrait rendre ses personnages moins caricaturaux et essayer d’apporter un peu d’âme et de crédibilité, mais même pas. Ils sont dessinés avec de gros traits, ce sont de véritables caricatures et jeu des acteurs est lui aussi au maximum de la caricature. Tout est exécrable, il faut bien accentuer tout ça façon guignol pour que les petits éprouves la peur de voir le gros chien blanc se sortir de cette pauvre intrigue. On impose un âge pour la violence dans les films, mais il faudrait aussi penser à interdire les films cons. Là il n'y a aucun âge pour voir ce film, surtout pour les petits que l'on crétinise avec de telles idioties.