Berlin No interest !
On croit partir sur une intrigue intéressante avec Éric Bana en psy profiler et peu à peu on s’enlise dans un scénario poussif sans queue ni tête ! Lamentable, affligeant… la fin est consternante et...
Par
le 8 févr. 2025
Voir le film
Bof.
Le pitch était alléchant, donc c'est une déception. Le fait qu'on suive deux points de vue différent fait que rien n'est assez développé. De plus, les auteurs misent sur un twist débile au lieu d'approfondir leur sujet ; forcément en voulant cacher une partie de la vérité (assez vite prévisible à cause de dialogues pas très subtils), l'auteur s'empêche de développer là où il le pourrait et doit même forcer ses spectateurs à subir une double romance. On peut aussi reprocher le côté irréaliste de la chose : je n'ai pas beaucoup lu sur les sectes mais il me semble qu'endoctriner une personne prend plus que quelques jours à moins d'être vraiment dans un sale état, ce qui n'est pas le cas de cette gamine que l'on sent sensible mais pas à ce point.
La mise en scène est correcte, le must reste bien sûr Bana qui est toujours excellent. Le découpage est correct, le montage est fluide. Les décors sont corrects. La BO est discrète.
Bref, le scénario est le problème de ce film.
Créée
le 25 août 2024
Critique lue 683 fois
2 j'aime
D'autres avis sur Berlin Nobody
On croit partir sur une intrigue intéressante avec Éric Bana en psy profiler et peu à peu on s’enlise dans un scénario poussif sans queue ni tête ! Lamentable, affligeant… la fin est consternante et...
Par
le 8 févr. 2025
hyper hyper classique des méthodes appliquées par les sectes pour recruter : aucune originalité. Plat et insipide
Par
le 19 janv. 2025
Une histoire de secte tirée par les cheveux, une mise en scène pauvre et à part Bana, des acteurs complètement à côté. Le rythme est soporifique et l'esthétique très proche d'un téléfilm
Par
le 17 janv. 2025
Du même critique
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
122 j'aime
35
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
122 j'aime
45
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
110 j'aime
55