Cry freedom. Cela semble toujours impossible, jusqu'à ce qu'on le fasse. La violence déguisée, la bêtise cagoulée, konfessions d'un homme infiltré. Le gros kombat d'un Spike Lee énervé. A la hauteur dans son montage, sa musique et ses interprètes. Ici le Kolorado burning. Ici l'Amérique, nous avons un problème. A qui est cette nation? Qui sont ces Américains? Un débat enflammé de haine, le poing levé et les kroix en feu.
Créée
le 2 sept. 2018
Critique lue 475 fois
3 j'aime
D'autres avis sur BlacKkKlansman - J'ai infiltré le Ku Klux Klan
Spike Lee est de retour sur la croisette avec son dernier film, BlacKkKlansman. Sans doute que le film ne marquera pas de son empreinte la sélection officielle de ce Festival de cannes 2018, mais la...
Par
le 20 août 2018
96 j'aime
11
Il devait rester quoi… dix minutes de film. Ça faisait déjà un petit moment que je m’ennuyais face à ce « BlacKkKlansman » et que je cherchais à occuper mon esprit pour éviter de sombrer. Ainsi,...
le 2 sept. 2018
48 j'aime
21
Thierry Frémaux, le délégué général du Festival de Cannes l’a suffisamment dit : il faut aller voir les films au cinéma. Ce que je trouve vrai. Mais pour BlacKkKlansman, c’est encore plus vrai...
Par
le 18 juin 2018
47 j'aime
6
Du même critique
Cry freedom. Cela semble toujours impossible, jusqu'à ce qu'on le fasse. La violence déguisée, la bêtise cagoulée, konfessions d'un homme infiltré. Le gros kombat d'un Spike Lee énervé. A la hauteur...
Par
le 2 sept. 2018
3 j'aime
Autant le dire de suite, certaines femmes n'intéressera que certains spectateurs, c'est une certitude. Un certain regard sur le Montana, terre d'accueil et passage obligé de la solitude et la...
Par
le 13 mars 2018
3 j'aime
Improvisation et propulsion pour ce programme libre. Je passerai mon temps à les regarder, à nager, boire, chanter, trainer et rire avec eux. La tête sous l'eau pour mieux respirer, les jambes en...
Par
le 22 sept. 2021
2 j'aime
