Vive Blade

Blade: the iron cross (2020)

De retour en 1945, les forces nazis laissent des bosses.

Leurs buts, changer les humains en nazis rongeurs d'os.

Une journaliste va se voir liée de façon télékinésique à une poupée féroce.

Retrouvez le plus célèbre des puppet master dans Blade: the iron cross.

Bonjour a tous amis de l'angoisse, aujourd'hui attaquons nous a Blade: the iron cross de John Lechago a qui nous devons Bio-Slime, Killjoy goes to hell ou encore le sympathique Blood gnome. Que cela me fait plaisir de retrouver mes chers Puppet master tant je les aime, certe le film est basé sur Blade et on ne verra pour ainsi dire que lui, mais en regardant bien vous pourrez apercevoir un cameo de l'équipe au début du film, l'histoire se passe donc en 1945, nous allons suivre une journaliste qui va développer un lien très fort avec la poupée Blade, un lien télépathique qui va donc lui permettre d'interagir avec lui, elle va devoir faire face aux forces nazis qui on pour but à partir d'un rayon mortel de transformer les humains en zombies. Bon, film lié à la Full Moon et à Charles band oblige sa part sur de la série B mais qui je dois l'avouer ma divertit même si j'aurai aimé plus d'action, a ce niveau là le film se rattrape néanmoins à la fin cumulant plus de 5 morts en 10 minutes d'ailleurs assez sanglante, la musique est l'oeuvre de Richard Band frère de Charles qui se réapproprie la BO culte de Puppet master en la remettant au goût du jour dans une introduction très militaire, les effets sont d'ailleurs assez plaisant que se soit les morts diverses ou la poupée elle-même, nous réservant un meurtre finale très jouissif, les visuels des morts vivants sont sympathiques et même les rares effets numériques comme cette fumée verte durant les liens entre notre héroïne et Blade ne sont pas si mal. Bon niveau casting je ne m'attendais à rien et j'ai bien fait car en général sa ne vole pas bien haut et les acteurs font au mieux, j'ai néanmoins était agréablement surpris de l'acteur Roy Abramsohn dans le rôle du grand méchant, les décors sont également sympas que se soit le repaire secret ou les différents bureaux ou se promène des clichés tel que ses policiers avec leurs impaires et leurs chapeaux sur des musiques de vieux polars noir. Bref un film qui ma bien plus et qui s'avère clairement mieux que Puppet master legacy ou le malheureusement assez moyens La revanche des Puppet master, cependant il reste bien en dessous de Puppet Master the little reich ou la trilogie originale, d'ailleurs mes 2 scènes favorites restent (attention spoiler) le coup des yeux en pointes dans la main et la mort potentiel de Blade lui donnant un aspect métallisé très joli dû à comment dire, un contact un peu long avec des flammes, allez tchuss crevez tous mouhaha 😈😈😈.

En 1945, une journaliste de guerre développe un lien télékinétique avec une poupée meurtrière et l'utilise pour saboter un projet nazi top secret qui vise à transformer des individus en zombies grâce à un rayon de la mort.