Ce film est une métaphore filée du féminisme. C'est absolument merveilleux, on voit un type, au milieu de poules (donc des femelles) être incapable de communiquer avec elles car elles hurlent trop fort. Métaphore filée je vous le dis ! Le type, de surcroît, a une voix molle, blasée, comme quelqu'un qui a débattu pendant de longues journées avec l'une de ces "choses" après avoir écarté un peu trop les jambes pour que ses boules aient de la place dans le métro.
Le saviez-vous ? Si les bourses sont trop chaudes (ce qui peut être le cas si elles sont trop serrées) les spermatozoïdes seront de mauvaise qualité. C'est ça qu'elles veulent ? Des générations d'handicapés ? (ah non, elles s'en foutent elles sont anti-validistes)
Il faut dire qu'après le quinzième néologisme emprunté au poulet (comprendre ici l'américain, car l'américain picore toutes les merdes sans distinction) forcément la seule réaction possible est le spasme, le coma... Nous, les hommes, faibles, nous ne pouvons lutter face à tant d'intelligences réunies, qui sont là à picorer...
On est obligé de prendre de la drogue pour tenir. Et ça peut très mal finir. Car la drogue c'est le mal... Donc arrêtez le féminisme, ça cause de l'addiction à des substances illicites. Soutenir le féminisme c'est soutenir la drogue, le Cartel de la drogue et rejoindre Pablo Escobar en pensée.
Si tu te demandes ce que tu viens de lire, j'aurais la même réponse que Trikmoumoutte à ma question : "mais qu'est-ce-que je viens de voir ?" : "La vérité, 24 fois par seconde"