"Ce très grand artiste israélite voulait bien nous recevoir... une belle ascendance sémitique... le grand, le génial et philanthrope financier de la noble race des Rothschild... l’idéalisme éperdu, la flamme bouleversante, ce feux noir qu’on surprend aux prunelles, à fleur d’âme, chez ce jeune poète que l’ardeur messianique consume..."
Les mots me manquent pour parler de ce génie qu'est Bernard-Henri Lévy, cet homme, visionnaire, qui, car son peuple a souffert, est plus à même de prendre la souffrance en empathie. L'envie de faire le bien l'habite, de défendre, contre la tyrannie, les peuples en dangers. Et bien avant son intervention en Libye, où, tel un héros il a commandé au Président français d'intervenir, il a fait de même en Bosnie. M. Mitterrand s'est donc rendu à Sarajevo, suivant les conseils de cet homme de génie. Encore une fois Bernard-Henri sauve la mise à un peuple oppressé. Il a ce talent.
Bernard-Henri, habité par le génie, sait différencier le bien du mal, le fascisme des vrais démocrates. Et, moi, je ne puis que suivre sa voie, suivre ses pas... Afin de, moi aussi, savoir qui est dans le camp du bien, qui est dans le camp du mal. Car, s'il y a bien une chose que nous apprend Bernard-Henri, c'est que le mal est absolu, qu'il ne faut pas négocier avec le mal... Et qu'il faut armer le camp du bien...
Il l'a fait en Bosnie, en Libye, il voulait le faire en Irak, en Syrie et en Afghanistan... C'est donc un homme qui joint l'action à la parole, qui s'investit, car vu qu'il sait différencier le bien du mal, peut se permettre l'ingérence et de dire aux chefs des nations que faire.
Il ne me reste plus qu'à attendre son prochain film, programmé en séance spéciale (et exceptionnelle !) à Cannes, où l'on apprendra ce qu'il faut penser des combattants kurdes.