Je n'aime pas Mel Gibson, tout le monde le sait. Mais j'aime les films épiques avec des batailles, des magouilles politiques, le vent dans la plaine, le pain et les jeux, honneur et trahisons en veux-tu en voilà. Et comme je suis pas franchement calée en histoire, j'aime quand les films sont fidèles aux faits. Oui, tu sais, ces détails qu'on change ou qu'on oublie parce que ça passe pas aussi bien au cinéma qu'une romance hollywoodienne. Pardon, je préfère apprendre. Mel, j'ai donné sa chance à Sandra Bullock et maintenant on est potes, donc je t'ai donné la tienne puisque tout le monde est en adoration devant Braveheart. You blew it, Mel.
Que quelqu'un m'explique comment un film aussi peu fidèle a pu remporter l'oscar du meilleur film. SI Mel avait passé autant de temps à faire des recherches qu'à tourner des plans à rallonge, on aurait eu un bon film.
Mes étoiles vont à la musique, aux costumes (enfin, bonjour l'anachronisme là aussi...), des scènes de combat pas dégueu et à quelques acteurs chouchous.
Merci pour ces trois heures de longueurs et d'inexactitudes durant lesquelles j'aurais pu ranger mes chaussettes.
A jamais.