Il y a des obsessions absurdes qui vous ballonnent les synapses jusqu'à en péter un câble. Ferreri gonflé à la couleur, brouillon et fou.
Film rare et ce que j’ai vu de plus digeste du bon Marco jusque-là.
Le ton du film flirte en permanence avec l’absurde et la futilité d’une obsession qui finira par tuer Marcello. Une de ces morts inéluctables, plus symboliques, voire paradoxalement nécessaires, que réellement tragiques. La satire, la farce, permettent cette distance avec la mort.
La preuve encore que c’est rarement la finalité d’une quête qui importe, ni même parfois son sens, mais bien le parcours emprunté jusque-là.
Commentaire complet à lire sur La Saveur des goûts amers
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