Que dire. Ecrire ces quelques mots n'est pas simple lorsque l'on est une fan de Bridget comme je le suis. C'est une belle conclusion, une très belle conclusion. Alors évidemment ATTENTION SPOILER Marc n'est plus. Comme elle le dit littéralement. Dès qu'elle en faisait part je finissais d'ailleurs en larmes. Parce qu'évidemment, l'âme de Bridget repose aussi d'une certaine façon sur celle de Mark Darcy, l'ultime love interest de la protagniste, qui ne sera finalement pas l'ultime love interest de la protagoniste. C'est en écrivant ces quelques mots que je trouve que cette tournure, aussi triste est-elle, est moderne, et vient quelque peu dépoussière Bridget Jones, qui pourrait sous quelques mesures, paraitre comme un peu "has-been" certaines fois. Enfin, si les films actuels n'avaient pas été adaptés au goût du jour, mais dieu soit loué, ils l'ont été. Ce que je souhaite dire, clairement, c'est que ce film est juste. Il est moderne, tellement dans son ère du temps, ce qui caractérise un défi pour un film saga qui date du début des années 2000, c'est-à-dire, il y a 25 ans ! (je n'étais même pas née). Le casting est superbe, évidemment Renée est une goddess juste indétrônable, et pour moi, une des meilleures actrices de sa génération. Hugh Grant est fidèle à lui même, Daniel Cleaver, et se comporte bien dans ce nouveau rôle de papi / tonton malicieux mais bienveillant malgré tout.
Cet ultime (ça me tord de le dire) film de la saga Bridget Jones est une réussite. Et je ne sais pas comment le dire autrement, mais je trouve que le qualifier de réussite, c'est d'une certaine façon un euphémisme tant il est puissant, émotionnel, et brillant.