Avec ses faux airs de Woody Allen (en plus vulgaire, en moins subtil et moins profond) et ses vrais airs de screwball comedies de l’âge d’or hollywoodien tel qu’à l’air d’en raffoler Peter Bogdanovich (et on ne saurait l’en blâmer), cette comédie vitaminée ne se casse étonnamment pas la gueule et fonctionne plutôt bien. Les acteurs s’en donnent à cœur joie, et c’est plutôt réjouissant. Après Birdman, les névroses du petit monde du théâtre semblent décidément inspirer les réalisateurs américains, ces derniers temps, et ils s’en sortent plutôt bien...