Çans merci !
Ça, par exemple… une saga horrifique qui marche aussi bien au ciné et qui provoque autant de hype, je n’imaginais pas connaître cela (on va éviter de mettre trop de « ça » pour des raisons évidentes)...
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le 12 sept. 2019
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Nous y voici, la suite et conclusion d'un long-métrage devenu l'une de mes plus grandes nemesis cinématographique. Remettons cependant les pendules à l'heure concernant tout ce qui a été fait jusqu'ici (Attention cependant je vais probablement spoiler toute l'intrigue de ce second film) :
Le roman de Stephen King figure parmi mes oeuvres préférées du genre littéraire. De par son traitement de son sujet, ses concepts et ses symboliques, ce livre nous a offert un récit brillant parlant de passage à l'âge adulte et de la perte de l'âme d'enfant (entre autre).
J ai trouvé le premier téléfilm de 1990 finalement assez sympathique et possèdent un certain charme malgré d énorme des défauts plus qu évidents. Le film possédait une personnalité ce qui fait déjà beaucoup. Je vous met en lien ma critique de ce téléfilm si vous désirez mon avis plus approfondis : https://www.senscritique.com/film/Il_est_revenu/critique/116588214
Concernant le Ça chapitre 1 (2017) réalisé par Andrés Muschietti, j'en retiens un échec complet. Rarement une oeuvre ne m'aura semblé à côté de la plaque à ce point et à autant de niveaux. Muschietti est un réalisateur prétentieux n'ayant de toute évidence rien compris à l'oeuvre original en terme de symboliques et concepts (il suffit de visionner ou écouter ses déclarations pour s'en rendre compte). Je ne vais pas m étendre dessus mais je vous renvoi vers ma critique de ce chapitre 1 qui est à lire avant de poursuivre car ce que j ai à dire à présent fait suite à mes arguments de cette même critique dont voici le lien : https://www.senscritique.com/film/Ca/critique/124684406
J'insiste qu'il est important de (re)lire cette critique avant de lire ce qui arrive ci-dessous du fait que la plupart de mes arguments sont déjà évoqué dans ce que j'ai pu écrire. Sur ce, bonne lecture!
Lançons nous à présent dans la critique de ce qui s'annonce déjà pour moi comme un immense échec. Il est important de noter que, contrairement au premier volet, je n'avais aucune attente au vu du résultat lamentable précédent.
Là ou le premier film semblait avoir comblé une partie du public (ce qui est très facilement justifiable pour son aspect divertissement malgré les défauts plus qu'évidents du film), ce second film semble peiner à mettre tout le monde d'accord. Le long-métrage serait apparemment moins profond, les personnages moins intéressants, la mise en scène moins marquantes,...Mais mesdames et messieurs, vous qui défendez corps et âmes le premier opus de 2017 sachez que vous êtes face au même films en terme d'écriture et mise en scène à presque tout les niveaux. Je vois mal comment il serait possible d'aimer un seul de ces 2 films et pas l'autres tant ils sont semblables et se complètent dans ce que je considère moi être un échec. Les symboliques sont toujours aussi absente au profit de ce clown n'ayant aucun sens en temps que tel dans cette diégèse filmique (que cela soit physiquement ou dans les métaphores qu'il implique). Le film propose un scénario très semblable au livre en terme purement narratif mais n'en reprend que l'emballage et ne semble pas comprendre le 10e de la symbolique émanant de l'oeuvre originale ; étonnant quand on décide d'envoyer ses personnages chercher durant près d'une heure des objets censé justement être des symboles pour eux-même.
Je le répète mais je ne suis pas l'une de ses personnes hurlant des arguments approximatifs de type "Le livre était mieux". Cependant je pense que dans une adaptation d'une oeuvre aussi riche que le roman de King, d'une oeuvre de Philippe K. Dick ou bien encore de Robert Silverberg (pour ne citer qu'eux) il faut opérer un travail sérieux sur les symboliques, métaphores et concepts explorés dans ces oeuvres pour en offrir une interprétation à l'écran la plus profonde et intelligente possible (même si celle-ci va dans une direction différente comme dans Shining). Dans le cas présent nous sommes théoriquement face à une bonne adaptation de par le fait que Muschietti décide de suivre très fidèlement le livre. Il n'en offre pourtant que la surface et se vautre totalement et lamentablement dans toutes les erreurs possible à faire concernant son analyse du roman.
Comme dans le premier film, tout n'est que prétexte pour jouer sur ce que j'appelle "La mode de la peur des clowns" (on va pas se mentir, la moitié des gens disant avoir peur des clowns le disent simplement parce que c'est le délire du moment, il n'en ont pas réellement peur. C'est comme si il était distingué, cool et branché de déclarer que nous avons peur des clowns de nos jours). J'en prend notamment pour exemple la scène de la fête foraine ou le film ne manque jamais et en aucun cas de nous montrer des figures de clowns (dans la scène du palais des glaces par exemple, scène tout bonnement ridicule au passage). Toute la promotion du film se base encore sur ce Pennywise campé par Bill Skasgard (sans doute bon acteur comme le reste de sa famille mais il ne pourra jamais offrir un Grippe-Sou digne de ce nom avec une apparence et une écriture de personnage pareille) et cette catch-phrase stupide "You'll Float Too" qui n'a aucun sens en temps que tel dans le film si ce n'est faire un peu "dark" si je puis m'exprimer ainsi. C'est uniquement un slogan pour faire cool et rien d'autre, ce qui n'a donc pas de sens et sonne comme une phrase de bande-annonce (ce qui d'ailleurs effectivement le cas). Son apparence encore une fois n'évoque pas quelque-chose d'attirant mais d'immédiatement repoussant et ne ressemblant pas vraiment à un clown finalement tant il a un aspect monstrueux dés le premier regard. Il semble qu'il a été décidé qu'il fallait que le clown soit vraiment le plus "dark" possible, ce qui en tant que tel n'a aucun sens étant donné qu'il est censé être attirant pour les jeunes enfants.
Les faits sont que Muschietti et la production ont dénaturé l'oeuvre de King pour en faire un blockbuster hollywoodien grand public lambda et c'est leur plus grand erreur. En voulant jouer uniquement avec la surface narrative que beaucoup de monde connait du roman original, il se sont planté pour offrir une oeuvre sans symbolique ni grands enjeux réel car sans un sens précis finalement.
Muschietti dans la promotion du film a hurlé haut et fort (comme pour le premier volet) que nous allions - je cite - "Nous chier dessus" et que ce second long-métrage comprendrait la scène ayant utilisé le plus de faux sang à l'écran de l'histoire du Cinéma. Alors, mon cher Mr. Muschietti, sachez que jamais un film se vendant uniquement sur le concept de la peur ne sera bon et c'est ce qui fait que la plupart des long-métrages horrifiques à gros budgets sortant sur nos écrans aujourd'hui sont totalement ratés. La peur doit venir d'elle-même et ne sera jamais un argument pour défendre un film (qui ne fait d'ailleurs absolument pas peur dans le cas présent et ne propose qu'une succession de jump-scare ratés). D'autant que les techniques utilisées pour provoquer la peur chez le spectateur sont classiques et n'innovent en rien l'industrie : Muschietti aime beaucoup utiliser dans ses films des corps humanoïdes aux membres trop longs et désarticulant semblant bouger en accéléré. C'est en général ce qui se fait sur à peu près tout les films d'horreurs à gros budget contemporains. Ensuite, votre fameuse scène "ultra gore" n'est rien d'autre qu'un passage ou Jessica Chastain est enfermée dans une pièce de 2m/2m baignant dans un bain de sang lui allant jusqu'à la gorge. Chose qui a déjà été vue mille fois ailleurs en mieux et je ne vois pas pourquoi il faudrait baser sa promotion sur un argument aussi inutile et surtout pour un résultat basique dans le genre. Vous n'allez pas nous faire le nouveau Braindead Mr. Muschietti ne rêvez pas. Ces déclarations ont de quoi faire lever un doute quand nous constatons que cet homme veut nous vendre ce film comme un chef d'oeuvre intemporel sur ces seuls "arguments". Tout ça pour obtenir finalement un blockbuster sans aucune profondeur.
Le montage du film nous donne une durée totale atteignant près de 2h50. Cela peut sembler déconcertant mais je peu pour le coup comprendre en théorie la durée du long-métrage du fait du nombre d'éléments présent dans l'oeuvre original. Cependant Muschietti veut tellement suivre l'histoire de base (je parle de l'histoire comme un noyau, il n'est que sur la première couche de celui-ci malheureusement) qu'il en ressort un montage apocalyptique. J'entends par la que le rythme s'en retrouve complètement bouleversé.
En effet, chaque personnage en début de film aura une scène en solitaire ou il apprendra le retour de Ça, cela veut dire 6 scènes assez semblables s'enchaînant les unes après les autres amenant immédiatement de la redondance. Le même procédé sera utilisé lorsqu'ils devront chacun partir à la recherche (en solitaire une nouvelle fois) d'un objet qui sera leur symbole personnel, un totem afin de réaliser un rituel destiné à vaincre la créature (le rituel de chud). Chaque personnage aura droit à sa séquence de 8-10 minutes pour y parvenir. Chacune des ces scènes sont à 90% les mêmes, seul le lieu change à vrai dire :
- Le protagoniste revient dans un lieu connu et rencontre un personnage de son passé
- Il a un flash-back de son enfance où il a été confronté à Ça (Jump-scare) dans ce lieu précis
- Il affront une vision de Ça en étant adulte (Jump-scare encore)
- Il récupère son objet et disparaît, on passe ensuite au personnage suivant
Le déroulement est le même pour chacun des protagonistes et cela occupe pas loin d'une heure de film. Il est fou de constater à quel point Muschietti décide de suivre le roman à la lettre mais sans l'adapter correctement au média cinématographique, la preuve en est ce montage qui respire l'adaptation simple et gratuite et proposant un résultat trop long au rythme brisé. Chaque scène solitaire de chaque protagoniste est la même en terme de narration et de mise en scène que les autres. Cela ne fait donc que se répéter et ne fait que lasser le spectateur qui ne fait qu'attendre la suite de ces séquences identiques entre-elles. C'est la que le travail d'adaptation est censé jouer pour changer cela, ce genre de montage ne s'adapte absolument pas au média cinématographique. Muschietti s'est vanté de cette durée de 2h50 avant la sortie du long-métrage mais comme quoi si l'écriture et le montage ne sont pas bon cela ne sert finalement à rien. Tout ça pour au final obtenir énormément de scènes à rallonge qui auraient pus être coupée de 20 minutes et offrir une meilleure fluidité de rythme et beaucoup moins de redites.
En terme qualitatif vous l'aurez compris je n'estime guère ce second opus meilleur que le premier. Cependant j'estime qu'il est meilleur sur un point qu'il me semble tout de même important de le souligner car il s'agit à mon sens de la seule réussite relative du film : Les relations entres les personnages.
En réalité peu d'entre eux sont intéressants. McCavoy joue bien mais finalement n'arrive pas à sortir d'un certain syndrome "McCavoy joue McCavoy". Jessica Chastain nous offre une Beverly que je trouve pas mal ratée de par son jeux monolithique tout du long du film ne nous offrant pas la possibilité de voir le personnage s'émanciper (à mon sens pour ces 2 acteurs il aurait été préférable de prendre des visages moins connu). Le personnage de Stan nous offre à mon sens une belle scène de mort en début de film, l'acteur communique quelque-chose dans le regard au moment de passer à l'acte que je trouve assez touchant. Quand à celui de Mike il est intéressant mais relativement oubliable malgré son importance dans le récit (en passant la scène exposant sa découverte du rituel de chud est une merde visuelle monumentale). Le personnage de Ben Hanscom campé par un bellâtre dont le nom m'échappe n'est pas mauvais en soit mais trop peu marquant et sa relation avec Beverly est assez ratée.
Les deux surprises de ce chapitre 2 sont sans aucun doute James Ransone dans le rôle de l'hypocondriaque Eddie Kaspbrak et surtout le comique Bill Hader dans le rôle de Richie Tozier. Leur relation est vraiment drôle et touchante. Tout cela nous mènera vers une scène que je trouve plutôt réussie en fin de film, à savoir la mort d'Eddie. Le jeux impeccable de Bill Hader va transmettre l'émotion voulue et je me suis surpris à ressentir la même émotion tant les réactions sont crédibles et juste. La scène se veut très déchirante et pour le coup cela est très réussi. Hader vole la vedette à chaque apparition à l'écran et il faut lui admettre que, même si il brise parfois inutilement la tension avec ses plaisanteries, c'est l'un des seuls personnages du film que je pense avoir une crédibilité et un sens au centre de ce bouillasse filmique. Ils restent cependant meilleur que l'immonde casting d'enfants inintéressants et lisant leur texte à la façon d'une comédie américaine bas de plateau. Il serait tant d'admettre que ces enfants ne servaient qu'à jouer les "cools" à quelques rares exceptions près. Il fallait à tout pris offrir un divertissement à la Stranger Things (série que je déteste profondément) pour ce Mr. Muschietti là ou il fallait aller bien plus loin que ça. En fait ce premier film était juste une comédie quelque-part, là ou le second est sur ce point au moins un peu plus réussi car se prend un peu plus au sérieux et ne brise pas sans arrêt la tension.
Concernant le personnage de Pennywise, Muschietti refait les même erreurs monumentale que par le passé. Il ne sait pas si Ça se doit d'être un démon ou un clown mais ne parviens jamais à trancher de la façon juste. La créature fait toujours autant d'actions de clown (dans les blagues ou hallucinations offertes au club des ratés) et c'est toujours autant un échec. J'en prend pour exemple le retour de la très mauvaise scène des 3 portes déjà présente dans le premier opus. Je vous invite à retourner lire ma critique de Ça : Chapitre 1 ou j'explique mieux cela mais pour vous résumer Muschietti n'a jamais compris toute l'importance et toute la symbolique se cachant derrière Ça, préférant en faire juste un clown démoniaque et rien de plus. Jamais l'aspect immatériel et psychologique de la créature n'est vraiment évoqué. Muschietti ne veut pas, et vraiment en aucun cas développer les symboliques de Ça, pourtant symbole de nos peurs ancestral. Je l'avais qualifié de "démon à la con" dans ma première critique mais je pense que maintenant il faut juste appeler ça un "clown à la con". Jamais le moindre effort n'est donné pour développer le symbole même du "Ça" (du concept en lui-même). Si le film s'était appelé "clown démoniaque" peut-être cela aurait-il eu plus de sens, mais utiliser "Ça" pour désigner cette créature en a un tout autre bien plus profond que malheureusement aucun de ces 2 films ne veut jamais mettre en place. A la place Muschietti préfère citer à travers certains plans "The Thing", c'est très bien mais il faudrait peut-être revoir l'écriture de ton propre film avant de vouloir faire "cool" parce que tu as des références.
Plutôt ironique que l'aventure des ratés se conclue sur un "Just a fucking clown" vous ne trouvez pas ? Dans une scène d'ailleurs d'un ridicule certain malgré tout les effets visuels mis en place.
Nous pourrions également parler de la scène de l'araignée, scène de l'affrontement final entre Ça et le club des ratés. Scène très souvent moquée (à raison il faut bien l'admettre) du téléfilm de 1990 pour ses effets visuels particulièrement ratés même pour l'époque. Et bien je défie quiconque de me dire que cette scène est plus réussie dans le présent long-métrage. Ici Muschietti décide de coller le corps du clown sur cette araignée ce qui est profondément ridicule (encore une fois incapable de se dire que le clown n'est que l'une des nombreuses apparences indépendantes de Ça et non pas sa forme réelle). Ça est un être purement conceptuel et finalement assez immatériel en un sens. Hors ici notre réalisateur a décidé que cette scène serait un combat de gros monstre géant avec pleins d'explosions, d'éboulements, de l'action etc. C'est d'un ridicule. Muschietti n'a pas compris la symbolique de l'araignée : Ça se sentant menacé prend cette apparence pour effrayer le plus de personne en même temps. L'araignée est le symbole universel de la peur pour l'homme ce qui a du sens. Alors peut-être qu'en terme visuel le téléfilm a raté cette séquence, en revanche il en a compris la symbolique et c'est bien pour cela que jamais la version de 2019 ne pourra être objectivement considérée comme meilleure.
Concluons,
Je ne sais que dire de plus sur ces 2 long-métrages. Muschietti a réalisé un échec monumental avec cette adaptation du chef d'oeuvre de Stephen King. Il n'en a jamais compris ni les symboliques, ni la substance. A la place nous a été offert un film se déroulant, se filmant et se vendant comme un blockbuster hollywoodien mais avec une résultat prétentieux et sans profondeur ou analyse. Nous sommes face à une oeuvre n'ayant d'autres but qu'être "cool". Prouvant ainsi le plus gros problème de l'univers de Ça de nos jours : Il est tombé dans la pop culture. Je pense que c'est vraiment ce fait qui a fait que maintenant le grand public s'intéresse à cette oeuvre, car elle est vue comme cool et fun alors que c'est bien différent de cela. A mon sens c'est comme si une adaptation cinématographique de "Huis-Clos" de Sartre se transformai en comédie cool pour les jeunes. Ce ne sont pas des oeuvres littéraires faites pour le grand public et destiné à un simple divertissement. Muschietti a décidé de nous refaire Stranger Things car "les années 80 c'est cool". Cependant ils ne comprennent pas (Stranger Things comme les 2 films) que tout ne se résume pas à ça en terme cinématographique et culturel. Ce réalisateur projette d'ailleurs actuellement de produire un 3e volet se basant sur les origines de Pennywise ce qui à mon sens résume actuellement toutes son incompétence de par le simple fait d'évoquer cette idée, et une preuve de plus (si il en fallait encore une) de son incompréhension absolue et complète de l'oeuvre de King.
La pire chose qui soit arrivé à l'univers de Ça est d'être tombée dans le domaine de la pop culture qui a dénaturé ses symboliques et son concept. Tout cela nous a mené à ce diptyque cinématographique catastrophique et honteux qui sera malheureusement pour beaucoup le premier contact avec cet univers décrit par Stephen King.
Je pense que ces 2 films seront vites oubliés dans le temps, preuve de leur impact qui sera finalement minime, mais bloquant sans doute à tout jamais la chance de revoir une adaptation de cette oeuvre par un réalisateur, une production et une équipe adaptée...
Ari Aster, David Lynch, John Carpenter, David Robert Mitchell, Guillermo Del Toro, William Friedkin, ...Le temps n'attend que vous.
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Créée
le 16 sept. 2019
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