Sorti en 1992, la même année que le premier détournement de Michel Hazanavicius (Derrick contre Superman), cette nouvelle proposition souffre de qu’on a pu repérer sur le court-métrage précédent : une quinzaine de minutes, ça amuse, au-delà, ça commence à être long, à fatiguer et, au final, à perdre les spectateurs. La bonne idée ici, reste l'utilisation des cartoons ( d'où le titre qui rappelle la célèbre émission du dimanche soir des années 90 sur Canal +).
S'il souffre de certaines longueurs parfois un peu fatigantes, il reste que ça détourne est plus intéressante et plus inspiré que son aîné. Un court-métrage qui reste à découvrir si vous ne le connaissez pas, même s'il y a peu de chances que ce film vous reste en mémoire...