Face de bukkake
Le petit Sandberg, il a l'air d'être un fan des jumpscare. Perso, je n'ai rien contre ce procédé, tant que le film ne les enchaîne pas à vitesse grand v. En effet, un jumpscare demande malgré tout...
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le 27 juin 2016
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Le petit Sandberg, il a l'air d'être un fan des jumpscare.
Perso, je n'ai rien contre ce procédé, tant que le film ne les enchaîne pas à vitesse grand v. En effet, un jumpscare demande malgré tout une certaine préparation : l'ambiance et puis surtout tout un travail sur l'attente. On sait que ça va arriver, mais quand ? Parfois c'est très mécanique, donc on devine, mais si c'est bien fait ça peut surprendre réellement. Après, c'est bien d'en faire quelque chose. Ici, malheureusement, ça ne constitue que la chute. Comme si l'auteur ne cherchait jamais qu'à préparer une atmosphère pour ensuite passer à autre chose. Il fait ses armes, quoi !
Le scénario est assez minimaliste, mais l'idée est intéressante, même si prévisible. Pas de quoi en faire un long-métrage. La mise en scène est tout aussi minimaliste, mais suffit à créer un climat d'anxiété. Le découpage est simple, frontal, efficace. Les effets spéciaux sont également minimes, pas de risque et tant mieux. Le monstre a une bonne tête. L'actrice semble être récurrente dans l'oeuvre de Sandberg : tant mieux car je la trouve mignonne, j'ai donc hâte de voir ses autres courts-métrages ne fut-ce que pour revoir cette screamqueen.
Bref, ça va pas très loin, mais c'est sympa. J'ai préféré "Lights out" car le travail sur l'ambiance est beaucoup plus poussé, mais en l'état ça reste efficace malgré son minimalisme.
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le 27 juin 2016
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