Pour être tout à fait franc, je me suis intéressé à ce film grace a sont compositeur Gustavo Santaollala, j’étais impatient à découvrir l’œuvre qui a manifié une de mes musiques préférés de ushuaia a la quiaca avec une séquence monochrome et mélancolique, et je dois dire que j’aurais dû en rester qu’à la séquence…
Carnets de voyage nous dépeint le récit de l’aventure sud américaine d’Ernesto Cheguevara qui « apparemment » aurait consolidé son esprit révolutionnaire qui « apparemment » à germé suite à ses lectures… oui, j’utilise le mot « apparement » puisque quasiment aucun moment tout cela nous est montré à l’instar d’un film que je méprise pour ces raisons INTERSTELLAR .
certes, il y’a deux trois misérables sur leur route (notamment le couple de mineurs) mais franchement faire un parcours d’influenceur Instagram pour constater ce que tu peux constater dans ton Souk local est du foutage de geule… Après je pense qu’un petit bourgeois pourrait tout à fait faire une chose pareille…
Je ne veux parler de Leur vrai voyage commencé au Pérou apparemment puisque le chili est expédié d’un revers de la main (alors que ce pays fait la moitié de leurs parcours bordel!) où bien les échanges entre personnages qui sont d’une niaiserie et d’une débilité profonde, (on sent les dialogues scriptés et artificiels). Non, je vais parler du plus gros point noir qui gâche ce film: sa réalisation, d’une médiocrité abyssale notamment en termes de montage certaines scènes futiles qui dure des plombes alors que d’autres qui sont supposés être importantes sont plus expéditives qu’un procès d’un condamné au goulag le montage et le rythme sont cruciaux pour tout bon Road Movie, Carnets de voyage na pas été à la hauteur.