Two Lovers
Avec cette mise en scène, que ne renierait pas Wong Kar Wai version In the mood for Love, la discrétion des sentiments sied parfaitement à une nomenclature esthétique au souffle court, qui fait...
Par
le 13 janv. 2016
129 j'aime
26
Ceci n'est pas une critique
Je t'aime Carol.
Je t'aime de tout mon cœur. J'aime tout chez toi.
Ton élégance, ton charme fou. Tes tours de passe passe, quand tu te dévoiles sous un jour plus charnel et érotique.
J'aime ton histoire, j'aime ce que tu me racontes. J'aime être avec toi, j'aime tellement être avec toi.
J'aime ta voix, j'aime tes violons, j'aime ton piano, ta harpe. J'aime tes goûts. The Rovers, tout ça....
J'aime ce que tu me dis, ce que tu me fais savoir.
Et puis tu es terriblement belle. Tes tons, tes couleurs. J'ai rarement rencontré quelque chose d'aussi beau, dans tout les sens du terme.
Mais ce que j'aime le plus, c'est peut-être Therese. Therese Belivet. C'est un nom original, Belivet. C'est tchèque. Quand Therese est là, elle est si discrète et en même temps, en même temps elle illumine la pièce. Sa douceur, sa légèreté. Quand elle prend des photos aussi. Elle est si adorable, et en même temps si classe. Si proche.
Mais, Carol, j'aimerais te dire, avec tout mon amour, merci.
Merci Carol.
Merci.
Pour tout ce que tu m'as donnée, ce que tu me donnes, ce que tu me donneras. Merci, car grâce à toi, je vis pleinement mes séances. Grâce à toi, depuis que je t'ai vu, je ne retiens plus mes émotions, aucune. Je vis, je re-vis, au cinéma.
Merci tellement Carol.
Merci.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Ma vidéothèque, Tout les films avec Rooney Mara, Les meilleurs films avec Rooney Mara, Les films les plus tristes et Les meilleurs films avec une héroïne
Créée
le 2 nov. 2016
Critique lue 627 fois
10 j'aime
D'autres avis sur Carol
Avec cette mise en scène, que ne renierait pas Wong Kar Wai version In the mood for Love, la discrétion des sentiments sied parfaitement à une nomenclature esthétique au souffle court, qui fait...
Par
le 13 janv. 2016
129 j'aime
26
Un lent mouvement de caméra le long des façades, de celles où se logent ceux qui observent et qui jugent, accompagnait le départ de Carol White qui s’éloignait Loin du Paradis. C’est un mouvement...
le 31 janv. 2016
125 j'aime
7
Il y a 20 ans Todd Haynes choisissait comme ligne de conduite avec Safe puis Far From Heaven de filmer la femme au foyer américaine, de sa capacité à exister dans un milieu ne favorisant pas...
le 12 janv. 2016
52 j'aime
12
Du même critique
Ceci n'est pas une critique Je t'aime Carol. Je t'aime de tout mon cœur. J'aime tout chez toi. Ton élégance, ton charme fou. Tes tours de passe passe, quand tu te dévoiles sous un jour plus charnel...
Par
le 2 nov. 2016
10 j'aime
Nouveau film estampillé Netflix cette année, après le succès critique d'Okja et la descente interminable (et ridicule) du Death Note d'Adam Wingard, Bright a commencé à se faire remarquer surtout...
Par
le 23 déc. 2017
4 j'aime
Le texte qui va suivre n'est pas du tout une critique. Après avoir écrit ces ressentis et impressions il y a quelques mois, j'avais voulu l'envoyer quelque part, mais j'ai décidé aujourd'hui de le...
Par
le 11 févr. 2021
4 j'aime