Pas toujours facile de raconter une histoire, hein ? Du coup, souvent dans ce genre de comédies, et de fait dans celle-ci, la narration ressemble à un découpage très grossier d'un schéma narratif en manque d'inspiration. Prévisible, linéaire, pas immersif pour un sou.
MAIS JE M'EN FOUS PARCE QUE J'AI BIEN RIGOLÉ.
J'adore Fabrice Eboué, un peu moins Thomas Ngijol mais quand même. Je me suis vraiment marré. Pas juste des sourires, de vrais éclats de rire (bon, pas tout le temps, mais y a de quoi faire). Parfois, j'étais un peu gêné de me marrer comme ça, conscient que c'était vraiment grossier et horrible, mais impossible, j'étais dans leur délire.
Mention spéciale fou rire gêné pour la scène de réunification entre Isidore et Rosalie. Je n'étais vraiment pas fier, mais c'était plus fort que moi. Excellent.
Plus une longue succession de sketch qu'un vrai film donc (ça arrive souvent quand des habitués du stand up passent devant la caméra), mais une bonne succession de sketch.