« Lots of creepy, none thin. »
Je ne sais pas pourquoi, mais je me sens obligée de justifier ma note.
Peut-être qu’elle est en partie due au fait que Charlie’s Angels fut le premier DVD de mon enfance. Peut-être.
Mais en même temps…
Déjà, pardonnez-moi, mais c’est drôle. “I’d like three cheeseburgers, three fries and three cherry pies. What do you guys want?” ahahaha. ha. Nan? Bon. Pour Bill Murray alors.
La BO, hum, voyons… Independent Women, Destiny’s Child. Smack My Bitch Up (aucun lien n’est à faire entre ces deux chansons, merci), The Prodigy. Baby Got Back, Sir Mix A Lot. Got To Give It Up, Marvin Gaye. Billie Jean, Michaël Jackson. Song 2, Blur… Next.
Attention, le film n’est clairement pas à prendre au premier degré (les scènes de combat ne sont pas réalistes ? Ne vous inquiétez pas, je pense qu’ils sont au courant). Et il a au moins le mérite de ne pas péter plus haut que ses fesses.
Le scénario ne casse pas trois guiboles à un unijambiste mais idem, merde. Je dirais même qu’un scénario tenant sur une feuille de papier toilette compte ici comme un prérequis.
Après FORCEMENT si vous vous attendez à discuter Kant et Freud (quoique) dans le débrief du film vous serez déçu. Mais dans ce cas je pense que votre loueur de DVD s’est clairement foutu de vous.
Et pour finir : Cameron Diaz. Drew Barrymore. IN THE SAME MOVIE. Point made.
[Mais en même temps j’ai trouvé la suite (Charlies Angels Full Throttle) irregardable. Donc peut-être qu’il faut juste avoir huit ans pour pouvoir l’apprécier correctement. Who knows.]