Un final qui part peut-être un peu trop en cacahouètes, et qui déshumanise un peu une histoire que Josh Trank s'était pourtant efforcé de rendre crédible et humaine, en empruntant les chemins opposés de ce type de production habituel (Marvel, DC Comics...). On prend donc plaisir à découvrir les pouvoirs de nos apprentis super-héros en même temps qu'eux, et on rigole volontiers de leurs aventures, avant qu'inévitablement tout finisse par déraper. J'aurai aussi un bémol concernant Andrew, dont le personnage me semble un peu trop caricatural, et qui plonge du côté obscur d'une manière trop simpliste et bâclée à mon goût.