E. Mouret ou la fusion d'un Rohmer avec Truffaut...Bonjour les références. En fait c'est du Rohmer pas chiant avec l'humanité d'un Truffaut. Le film est tout simple, on suit une liaison du début à la fin avec évolution prévisible des situations. L'intérêt est dans les dialogues, le jeu très particulier d'un Macaigne et la légèreté de Kiberlain, et également dans certains jeu de mise en scènes. Macaigne devient le Jean Pierre Léaud de Mouret, comme il l'a été dans le Irma Vep d'Assayas. En tout cas, le film est vrai plaisir de cinéphile, tant les références à ce cinéma sont présentes.