Critiques de Cinquante Nuances de Grey

Bondmax
2

Le compte est bon

Soit 50 nuances de grey, auxquelles j’ajoute 125 minutes représentant la durée du film, cela me fait donc 175. De ce 175, je prends le pourcentage de femmes dans la salle de ciné, soit 95 %, ce qui...

le 12 févr. 2015

1.6K j'aime

136

Socinien
3

Viol en réunion

100 millions d'exemplaires vendus, un matraquage depuis des mois à coup de rumeurs de tournage, une omerta de la critique journalistique avant la sortie officielle, un soupçon de souffre et...

le 12 févr. 2015

362 j'aime

78

blig
2

Le loup de Balls Street

Conversation téléphonique longue distance Seattle-New-York, une nuit chaude et électrique du mois de mai, entre un maître dominateur et son élève : Maître, Anastasia est partie... La pute...

Par

le 15 févr. 2015

278 j'aime

25

Voracinéphile
2

Cuir ou salopette ?

J'enfonce ma carte dans le distributeur. Les portes s'écartent devant moi. Une forte odeur de bourgeoise envahit mes narines. L'éclairage tamisé révèle des rangées de fauteuil d'un rouge affriolent...

le 13 févr. 2015

182 j'aime

27

guyness
3

De Grey ou de force

Certains navets annoncés vous mettent d'abord mal à l’aise. On craint le truc finalement moyen qui ne donnera pas prise au commentaire ricaneur ou au mépris affligé. Avec 50 nuances, on est rassuré...

le 28 juin 2015

132 j'aime

40

Grard-Rocher
1

Critique de par Gérard Rocher La Fête de l'Art

Anastasia, une jeune fille vierge, bien sous tous rapports (qu'elle n'a jamais eus), s'occupe d'une "feuille de chou" de sa faculté avec l'une de ses amies. Celle-ci, à la suite d'un empêchement...

73 j'aime

30

ClémentRL
1

Critique de par Clément en Marinière

Fervent admirateur de "l'oeuvre littéraire" d'E.L. James, monument de comique involontaire, j'attendais son adaptation cinématographique avec une fébrilité toute ironique. Mais quelque part, "dans...

le 11 févr. 2015

69 j'aime

5

baptistevanbalbergh
1

La jeune pucelle décérébrée et le grand bourgeois sodomite

Merde, je n’étais pas prêt… Ô puissants membres de la confrérie des adorateurs du cinéma, accordez-moi le pardon d’être parti voir ce film le jour de sa sortie : le 11 février 2015, à jamais gravé...

le 12 févr. 2015

53 j'aime

16

-Marc-
2

♫ C'est la baffe que je préfère ♪♫

Sur un scénario digne d'un roman photo des années 50, E. L. James n'assumes pas ses fantasmes. Sam Taylor-Johnson non plus. Un bellâtre, milliardaire, parti de rien, sachant tout faire, avec le...

le 14 janv. 2016

32 j'aime

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