Mat Dillon atteint du syndrome de "steward pilote".
Même avec 5000 heures de vol un steward n'est pas pilote de ligne.
Commentaire que déja j'émis sur des films d'acteurs qui, petite fortune et renommée acquise, "s'ICARisent" cinéaste!
Voici, depuis son transat piscine millionnaire, de son allongé piédestal ensoleillé d'illusions, sous le coup de qqs snifettes diluées au Martini Gin, un Mat Dillon estimant avoir de soudaines aptitudes ! la révélation est là!
"Je prends les commandes"!!!!!
Copains, copines, millions ici, millions par là, des dollars en veux tu? en voila! le steward devenu pilote de ligne embarque tout un monde dans un splendide crash annoncé.
Possiblement il eut été possible (joke) de limiter le désastre au montage; de nombreuses scènes portent un intéressant exotisme violent, dont celles avec le géant Gérard, mais le steward confia (voir supervisa) le montage de façon a s'assurer que le désastre fut total. Ce fut une réussite.
Piégé par une bande annonce puissante, c'est à dire 3 minutes du film, force m'est d'admettre que je m'embourbasse dans cette purée de navet haut de gamme.