Et un film documentaire de plus sur Claude François, un ! (voir liste en bas de commentaires) Celui-ci est diffusé par W9 et annonce fallacieusement : "derniers secrets" Et j'en ai encore un au chaud et à analyser de C Star.
Derniers secrets ? Tu parles ! Il n'y a guère d'informations, de documentaires filmés qu'on n'ait déjà vu dans les deux précédents opus...
Je ne donne ici, sous peine de me répéter (ou de radoter, comme vous préférerez) que ce qu'il y a d'un peu neuf...
Dieu sait si le chanteur en aura fait avaler des couleuvres à ses fans ! Jusqu'à quasiment cloîtrer son deuxième enfant pour ne pas se donner un visage trop "pépère de famille" et garder ce profil de chanteur à minettes qui lui convenait tant... Honteux !
Voici revenu le temps où Cloclo "pédalait dans la semoule" et où c'est sa première et seule femme qui faisait bouillir la marmite.
Pour se sortir de cette situation où son épouse réussissait tout, et lui se plantait. Pour s'en sortir, il voulut absolument interpréter une chanson qu'il avait entendue : "Belles, belles, belles", sauce sixties à la française, mais elle était, hélas pour lui, promise à Lucky Blondo, autre star montante de l'époque yé-yé !
Claude fit tant et si bien, argumentant que c'était quasiment une question de survie pour lui, que son directeur artistique la lui laissa. La chanson connutle succès que l'on sait. Lucky Blondo, à l'image de tant d'autres, ne fut qu'une étoile filante, pas Claude...
On revoit aussi les interviews des deux films précédents, les mêmes biographes (dont François Diwo), mais aussi d'une fan, de Danièle Gilbert, de Sheila, qui n'apportent rien, et dont on se serait bien passés, mais paradoxalement, aucune de Paul Lederman qui lança la star... et qui fit croire à tout le monde que le chanteur, qui s'était écroulé sur scène, était dans un état de santé très grave ! Avant qu'on apprenne que c'était du pipeau, de la "réclame". Ce jour-là, j'ai décidé de ne plus acheter aucun disque de ce type !
On a droit aux mêmes souvenirs de Sylvie Mathurin, sa fidèle et dévouée habilleuse, et d'une des deux clodettes qu'on voit le plus souvent : Prisca Ligeron restée très belle, et qui confesse "Au fil du temps, on était presque nues, mais jamais vulgaires, vous ne trouvez pas ?"
C'est vrai...Après des commentaires de Félix Bussy, son directeur artistique, Gérard Louvin son producteur, on revient aussi sur les peaux de bananes que glissait Claude sous les pieds d'Alain Chamfort qui commençait à lui faire de l'ombre.
On s'étend un peu plus sur le goût immodéré que Claude avait sur les gamines mineures, ses principales admiratrices qui allaient jusqu'à faire le pied de grue dans l'escalier de son appartement du Boulevard Exelmans. Il faisait des photos d'elles nues, et avait racheté le magazine "Absolu" pour assouvir sa faim de jeunettes... On apprend que, sur le point d'avoir des ennuis avec la justice, il fut sauvé par Valéry Giscard d'Estaing et Anne-Aymone...
Mal-aimé, Claude François ? Il avait beaucoup fait pour ! Y compris faire tourner bourriques ses conquêtes ! J'allais oublier : une révélation, Julie, une fille naturelle "née de père et de mère inconnus" et qui aurait eu pour père biologique Claude François, preuves ADN et rechereches à l'appui !
W9 le 27.032.2018
Mémo 02/03 - 2018 de films documentaires sur Claude François commentés :
- Claude François, la revanche du mal aimé
- Cloclo : 40 ans après, ultimes révélations.
- Claude François, les derniers secrets.