Une expérience effroyable qui a pourtant réussi à me surprendre par son angle d'attaque, la comédie rurale pas drôle, voire un peu dramatique, traversée de fulgurances pornographiques antibandulatoires (sauf pour les amateurs de brin de paille dans le gland ou les urozoophiles canins). Un pur geste cinématographiquement criminel de la part de JFR dont on pressent qu'il a maintenu les Nuits Excentriques durant 10 ans dans le seul but de pouvoir caser un tel film ! J'en retiendrai, entre autres, cette proposition d'expression nouvelle pour évoquer l'acte onaniste : "faire pleurer Bourvil".