Gad Elmaleh nous offre là une belle et longue descente aux Enfers, en nous laissant bien le temps de profiter de tout le paysage. En effet, on sent chaque effet comique venir et on voit petit à petit le bide venir de loin, doucement mais surement. Une fois la photo faite, on peut passer à la suivante, et on en ressort avec un sévère album. Si on en ressort.

PS : le titre de la critique est à lire après le titre du film, obv.

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le 19 juil. 2011

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Xibalba

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