Un Chow burlesque !!!
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Beaucoup mieux que dans son "Shaolin Soccer", Stephen Chow arrive à transcender un cinéma de genre (l'équation "kung fu + burlesque") pas vraiment exportable (le kung fu y est basique et répétitif, le burlesque gras), grâce à une formule hors pair : à l'énergie intarissable d'un Tsui Hark, il ajoute un sens du délire très cartoonesque (on pense souvent à Astérix, pour lequel Chow serait clairement le réalisateur le plus approprié...), une inventivité totalement réjouissante (parfois ça casse, mais quand ça passe, on ouvre de grands yeux d'enfants devant des trouvailles stupéfiantes), voire même quelques moments de poésie. "Crazy Kung Fu" use et abuse néanmoins de nombreuses références ironiques aux blockbusters Hollywoodiens, qui amènent un second degré supplémentaire tout-à-fait inutile. [Critique écrite en 2004]
Créée
le 27 janv. 2015
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