Avec son affiche qui ressemble à la couverture d’un album de synthwave, Cross The Line pourrait presque passer pour une science-fiction. Eclairé par beaucoup de néons aux couleurs crues et vives, le film se dote d’une identité visuelle remarquable. La transition entre l’intérieur de l’appartement du père, clair et traditionnel, et celui de Mila, sombre et pourvu d’une plantation de marijuana, souligne la différence entre les univers où Daniel évolue. Tout commence de jour, dans un quartier froid et banal, pour finir au bout de la nuit, dans un festival de couleurs chez la jeune femme.
Notre critique complète ici : https://linfotoutcourt.com/critique-cross-the-line/