« Cyclone à la Jamaïque » est un film de pirates qui se déroule dans l’océan Atlantique au XIXe siècle. J’ai pris beaucoup de plaisir à le regarder car c’est un film d’aventures avec beaucoup d’actions, et certains passages sont drôles. Je ne me suis pas attaché aux personnages, sauf le capitaine Chavez qui m’a marqué. Cependant, j’ai trouvé que certains passages étaient en décalage avec le film.
Les films de pirates me plaisent car il y a de l’action. Mon passage préféré est le moment où l’équipage de Chavez attaque la bâtiment anglais à bord du quel se trouvent les enfants Thornton. Je l’ai adoré car je trouve que l’abordage est bien pensé. C’est la première fois que je vois des pirates aborder un bateau en se déguisant en femme. Je trouve cependant dommage que tous les pirates ne soient pas tous armés. La mutinerie est l’autre moment du film qui m’a marqué car c’est une scène où il y a de la bagarre et de l’action. Le motif de la mutinerie est cependant étrange car je trouve les superstitions des hommes d’équipage puériles. Malgré cela, l’histoire de l’esprit revient souvent e lasse le téléspectateur. Les jeux des enfants, eux, sont en décalage avec le film comme le spectacle car ils arrivent à l’improviste.
Le personnage auquel je me suis attaché est le capitaine Chavez. C’est un pirate qui fait attention aux enfants. Il n’est tout de même pas à la hauteur d’un capitaine pirate, car il n’est pas très autoritaire. Sans Zac, la mutinerie serait arrivée plus rapidement. C’est ce qui ne me plaît pas chez lui. Cependant, le personnage principal Émilie ne m’a pas plu. Je ne l’aime pas car on eut lui raconter ce que l’on veut, elle est naïve. Je trouve en revanche qu’elle est très joueuse, ce qui est une force à son âge.
J’ai trouvé que le film progressait lentement puis accélérait vers la fin. Il s’accélère car les abordages sont plus nombreux, il y a la mutinerie et Émilie se blesse à la jambe. Après l’accélération du rythme du film ,il y a une fin fermée : les pirates ont été pendus et la famille Thornton Habite en Angleterre. Personne ne sera jamais que c’est Émilie qui à tué le capitaine Irlandais. Je trouve que le titre ne résume pas l’histoire entière mais seulement le déclenchement.
Je pense que le réalisateur a voulu montrer qu’aucune personne n’est totalement méchante, car au fond de tout le monde il y a du bien.Le réalisateur l’a montré avec Chavez qui est le capitaine pirate mais qui est attendri par les enfants. C’est une belle leçon de vie.