Daffy & Porky sauvent le monde
6.5
Daffy & Porky sauvent le monde

Long-métrage d'animation de Peter Browngardt (2024)

Il y a de ces figures que l'on peut considérer comme des sujets sensibles, voire inadaptable. C'est (ou c'était le cas ?) du Petit Prince d'Antoine de Saint-Exupéry qui s'est vu adapté une première fois en animation au cinéma, puis une seconde fois en série, puis même encore récemment en prise de vu réelle avec Louis Garrel dans le rôle d'Antoine de Saint-Exupéry devant la caméra de Pablo Agüero... et je pense que c'est aussi devenu le cas avec les Looney Tunes. D'un certain côté, on peut dire que ce sont des personnages qui sont pratiquement rentré dans le domaine commun, qu'on a déjà vu sous tous les formats, et qu'une énième adaptation au cinéma n'aura pas grand impact, d'autant plus en rétrospective de l'histoire compliqué qu'ont pu avoir les Looney Tunes depuis les années 90. L'ensemble des projets liés aux Looney Tunes depuis les années 90 n'ont pas su être des succès commerciaux ou critique, et cela pour une bonne raison: les Looney Tunes sont devenus des monuments indétrônables dans le genre. Les seuls œuvres ayant rencontré le succès sont celles acceptant de proposer quelque chose de radicalement différent (comme les Tiny Toons) et les œuvres se voulant le plus fidèle aux Looney Tunes (comme le film Space Jam de Joe Pytka), mais il n'y a jamais vraiment eu d'entre deux. La raison étant que l'image des Looney Tunes est encore trop rattaché à l'humour absurde et au gag slapstick, et que les Looney Tunes ont eu une place immense dans l'histoire du cinéma américain. Qu'est ce que Bugs Bunny si ce n'est la figure de l'Amérique en temps de guerre qui redonnait espoir aux soldats et aux familles, ainsi que celle qui a remis en question le monopole de Mickey Mouse et de la conception puritaine et controversée de Walt Disney ? Qu'est ce que Daffy et Porky si ce n'est les tout premiers personnages populaires des Looney Tunes (environ deux ans avant Bugs Bunny), qui mettront en lumière la richesse et la diversité du cartoon américain grand public, instaurant des bases narratives et une conception de l'animation encore reprises aujourd'hui pour se démarquer de l’hégémonie Disney ? Tout un héritage découle de ces personnages qui, afin de se démarquer de leur concurrent aux grandes oreilles, ont dû évoluer au fil des évolutions techniques. Ils sont devenus plus adultes, ils font des apparitions pour prouver leurs place dans l'actualité et dans (littéralement) le monde réel (comme dans My Dream Is Yours de Michael Curtiz et Friz Freleng) et, comme le spectateur, ils grandissent. Ce n'est pas un hasard si les corps des toons chez les Looney Tunes n'ont fait que grandir depuis leurs créations (contrairement aux personnages de la Mickey Mouse Family qui n'ont eu tendance qu'à rajeunir, comme le souligne humoristiquement Francis Masse dans son Miquépithèque). Cela peut paraitre anodin, mais le corps des toons est tout aussi signifiant que leurs actions et leurs blagues, car elles traduisent de la démarche qui motive le studio qui les produits (on y reviendra plus longuement durant la critique). Pourtant, les personnages ne peuvent pas vieillir éternellement, et c'est pour cela que la Warner Bros. a voulu conserver la même image des Looney Tunes depuis les années 1980, précipitant indirectement leurs chutes (qui était déjà amorcée depuis la fin de l'âge d'or du court métrage au cinéma). Les essais pour remettre les Looney Tunes. Que ce soit avec plus d'action et d'aventure (avec Loonatics et Duck Dodgers), ou même les essais d'adaptation plus familiales et moins cartoon (avec Baby Looney Tunes et Titi et Grosminet mènent l'enquête), il manquait quelque chose pour redorer avec le succès. La rediffusion des cartoons fonctionnaient et certains extraits étaient même employé pour des contenues originaux pour l'habillage des programmes jeunesses (en France avec Bunny Tonic sur France télévision ou même plus tard dans Les Baskets dans l'assiette le dimanche soir, ça ne nous rajeunit pas), mais c'était une solution qui ne pouvait pas marcher dans la durée. C'est aussi pour cela que les Looney Toons ont eu tendance à rajeunir, et adopter un design se rapprochant d'avantage de ceux abandonnés dès les années 50. Space Jam 2 a bien essayé de proposer une version actualisé avec les technologies modernes, mais... Space Jam 2, ce qui a eu un impact significatif quant à la confiance (déjà bien basse) qu'accordait la Warner Bros. vis-à-vis des Looney Tunes. On pouvait craindre le pire quant à l'avenir des Looney Tunes, et l'annulation de Coyote vs ACME n'a rien arrangé. J'étais parmi les premiers à attendre un véritable retour des Looney Tunes, que ce soit au cinéma ou à la télévision. J'étais alors très intrigué par Daffy & Porky sauvent le monde, mais aussi très craintif (vous vous doutez surement pourquoi après cette longue intro, mais j'aurais l'occasion d'y revenir plus tard).


Le film met en scène Porky Pig et Daffy Duck, deux pionniers des Looney Tunes modernes (du moins après Bosko), et il est intriguant que le film adopte l'esthétique des premières versions de Daffy et Porky. En effet, plus que ce que je vous ais décrit en introduction sur la nécessité des personnage toon à évoluer et à grandir (du moins si on veut rester dans une philosophie à contre courant du modèle Disney), c'est étonnant de retrouver ces design qui correspondent à des visions bien précises de ces deux personnages (surtout avec l'absence de Bugs Bunny qui, lui, a été créé quelques années après Daffy, durant la guerre) car étant respectivement les seconds et troisièmes personnages Looney Tunes (le premier étant Beans le chat). On n'est plus seulement dans une volonté de capitaliser sur une nostalgie d'un temps que nous n'avons pas connu, comme peuvent supposer le style graphique épousant par moment le style rubber hose (notamment pour le design des expressions des Looney Tunes), mais de retourner aux sources du rire, vouloir travailler le Looney Tunes à la racine afin de développer un propos qui sera lui même le cœur même du récit. On pourra toujours trouver des grains de sables dans la démarche (on y reviendra plus tard), mais on ne peut pas nier que cette démarche est intéressante car assumant pleinement la manière dont les Looney Tunes pouvaient porter un regard critique sur le cinéma et sur le monde actuel. Que ce soit avec Space Jam ou même Les Looney Tunes passent à l'action (dont on peut y créer de nombreux parallèles, on y reviendra plus tard, et même si c'est aussi le cas pour Space Jam 2, par pitié restons aux deux exemples précédents), les Looney Tunes questionnent et mettent en lumière les faces cachés du divertissement et du star système au "dépens"/intérêt d'une personnalité en pleine crise existentielle (un basketteur en proie à des doutes pour l'un, un acteur détruit par les tournages pour l'autre). Ici, plus besoin d'utiliser une star populaire pour mettre en avant les Looney Tunes et les confronter à un monde en crise, car leurs propres mondes est en crise, et eux même sont dans la tourmente. Avec un personnage fonction de père spirituel utilisant l'animation limité, on comprend vite qu'il est question de la place des Looney Tunes dans le monde moderne après que leurs parents aient disparu. Les Looney Tunes se confrontent à l'épreuve du temps et les obligent à sortir de leur zone de confort pour pouvoir espérer exister de nouveau. A travers le duo Porky et Daffy, on peut voir le tiraillement idéologique qui se joue entre Porky le Looney Tunes qui tente de s'intégrer, et Daffy qui n'y arrive pas et dont sa nature lui permet d'être le premier à voir le danger arriver. Le film parle en creux de notre propre manière de consommer le divertissement et le cinéma, à travers la commercialisation d'un chewing gum contaminé par un alien voulant prendre le contrôle de la Terre, invoquant ainsi à plusieurs reprises les codes du film d'horreur pour au mieux décrire une dystopie où l'aliénation de la population pour des contenus non-nobles auraient gagné par le silence des Looney Tunes. Il y a ainsi une reprise de thématiques oubliés du répertoire Warner Bros. qui ont pu être mis à l'honneur à travers les œuvres Dreamworks depuis Les Bad Guys (l'alien du film étant un doppelgänger du Professeur Marmelade). L'entraide et l'union entre toon devient ainsi une quête vitale pour la préservation d'une identité face à un monde qui pousse les Looney Tunes à disparaitre, ce qui engendrera pour moi l'une des plus belles scènes du film.

Alors que Daffy a vu le scientifique s'introduire dans l'usine de Chewing Gum pour y déposer la substance alien, personne ne le croit, Porky le pousse à aller faire un tour dehors, et se retrouvant seul, Daffu Duck se met à décrire lentement les personnes qu'il croise dans le parc. Décrire un quotidien trop banal pour être acceptable, lui faisant ressortir une petite amertume dans une scène étrangement triste et froide sans le sous-texte qu'il y a derrière. A travers une scène faussement anodine, le film expose de manière frontale l'absence de fantaisie qu'a pu engendrer la mondialisation. L'instant est d'autant plus fort que le constat est porté par le personnage le plus loufoque et humoristique des Looney Tunes, celui dont on s'attendrait le moins à un pareil discours, lui qui semble en décalage avec les autres car trop loufoque ou trop cynique par rapport à la gaieté ambiante du Looney Tunes show

On abouti ainsi à un film avec une très grande richesse narrative qui redore le blason des Looney Tunes à travers des gags efficaces et un récit dont on arrive à plonger pleinement malgré toutes les réticences qu'on peut avoir avant le visionnage. Pourtant, ceux qui ont vu le film l'ont bien compris, il y a une tache au tableau.


Ce que je vous ai portraituré jusqu'à présent est l'ensemble de la démarche du long métrage, et l'ensemble du plaisir que l'on peut avoir à retrouver les Looney Tunes traité correctement au cinéma. Maintenant, pour que cette démarche fonctionne, il faut que celle-ci soit parfaitement réalisée. Le souci étant que sous plein d'aspects, on a l'impression d'un travail bâclé ou imparfait. Je vous mentionnais l'historicité des personnages de Daffy Duck et Porky Pig, ainsi que de la volonté du film de traité les Looney Tunes "par la racine", mais le soucis étant que le film semble mal connaitre les racines de son propre sujet. En effet, les design semblent fidèle à une manière qu'ont pu avoir les studios Warner de portraiturer Daffy et Porky, mais si l'on prend connaissance de l'histoire de ces deux personnages, on comprend très vite qu'il y a des enjeux narratifs que le film éclipse totalement. Si l'on connait particulièrement les personnages de Daffy Duck et Bugs Bunny, c'est pour le court métrage Chassé-Croisé, et plus généralement à travers la trilogie de la chasse par Chuck Johns, réalisé entre 1951 et 1953. Cette trilogie est très importante car elle permet la rencontre entre Daffy Duck et Bugs Bunny, littéralement le héros Looney Tunes d'avant guerre et celui durant la guerre. Les deux se sont déjà vu le temps d'un caméo dans Porky Pig’s Feat en 1943, mais c'est bien durant cette trilogie de la chasse que les deux personnages vont se rencontrer et vont porter les Looney Tunes au sommet de leurs popularités. Ce n'est pas un hasard si Joe Dante a choisit une adaptation de ce court métrage pour faire l'ouverture de son Looney Tunes Back in Action, car c'est à travers lui que l'on a construit l'image moderne de Daffy et Bugs Bunny, éclipsant l'image des personnages qui a pu être produite avant ou pendant la guerre. Pour en revenir à Chassé-Croisé, c'est un court métrage méta qui repose sur le fait que l'on confronte deux figures populaires dont l'une (Bugs Bunny) a fait de l'ombre à l'autre (Daffy Duck) durant la période de guerre, mais aussi sur le fait que tous deux ont joué le même rôle dans un scénario adapté deux fois par les Looney Tunes, à savoir le chasseur chassant une proie qu'il a du mal à attraper. Il y a tout d'abord eu Porky's Duck Hunt en 1937 où Daffy joue la proie (qui donnera naissance au personnage de Daffy Duck), puis ensuite Porky's Hare Hunt en 1938 (qui donnera naissance au personnage de Bugs Bunny) avec Bugd Bunny dans le rôle de la proie, mais dans les deux cas, c'est Porky Pig qui joue le chasseur (Elmer Fudd étant une création originale pour la trilogie de Chuck Johns sur les bases du personnage de Porky Pigg, d'où le fait que le rire d'Elmer soit similaire au bégaiement de Porky). Daffy et Porky n'ont historiquement pas été les amis que nous présente le film, et la vision du film vis-à-vis de ces personnages est biaisée. Cela peut paraitre négligeable (et factuellement ça l'est vu qu'on n'a pas tant besoin de ça pour apprécier le film), mais c'est un grain de sable assez important, amenant beaucoup d'autres, qui ternissent le résultat final. Car oui, tout cela amène à la remise en question des choix artistiques du film. Pourquoi prendre ces versions de Daffy et Porky ? Pourquoi choisir ce style graphique qui, dans les faits, abouti à un résultat très aléatoire. Même si l'on s'y accommode, on passe d'un style proche du rubber hole à un style plus proche des Looney Tunes modernes pour aller parfois dans un style proche des studio Turner avec le scientifique qui ressemble aux personnages humains dans Tom et Jerry. Il y a un problème de cohérence et d'harmonie dans la direction artistique du film qui concorde avec un problème dans le ton du film, notamment dans l'écriture de ces personnages. Ces derniers zig zag entre une dichotomie forte entre humain et toons, et la volonté d'épouser l'humour Looney Tunes, que ce soit avec le scientifique, l'inspectrice du contrôle sanitaire, ou même l'alien qui n'arrive jamais à trouver un ton cohérent. A la fois il est montré comme froid car représentant une menace venu d'ailleurs qui accélère la chute de l'humanité à travers la production d'un chewing gum aliénant, de l'autre il semble vouloir adopter des caractéristiques de méchants à la Sam le pirate ou Elmer Fudd. Tout cela abouti à la conclusion du film, ceux ayant vu le film l'auront déjà compris, qui a de quoi surprendre, laisser dubitatif sur le message proposé par le film, et remettre en question l'ensemble du récit. Ajouter à cela un grand nombre de Deus Ex Machina afin de faire avancer l'intrigue et décoincer des situations, on en vient à se demander la démarche derrière ce film, et surtout pour quel raison les personnages sont amenés à nous amuser. A l'image des intentions de l'extra-terrestre, tout n'a l'air d'être qu'une excuse pour retrouver les Looney Tunes, que le plaisir de se retrouver est plus fort que la marge du temps, plus forte que l'évolution des modes de consommation (que pouvaient critiquer Le Chat Potté : La dernière quête ou plus directement Le Robot Sauvage du côté de chez Dreamworks), et ainsi accepter une philosophie destructrice que promouvait déjà Space Jam 2, et qui semblait prendre le pas sur la volonté de revoir les Looney Tunes au cinéma.


Pourtant, j'aime à penser que le film a un message plus complexe qu'on peut l'imaginer au premier abord. J'ai mis du temps avant de pouvoir poser une réflexion qui puisse tenir la route vis-à-vis de cette fin qui semble en total décalage avec ce qu'installe le film tout du long, mais j'ai finis par trouver en me rappelant de comment j'ai pu être perplexe face à la fin du film Le Robot Sauvage par Chris Sanders. Là aussi, le film perturbe à cause de sa fin qui semble forcée, pas naturelle, étrangement optimiste face à un film qui ne l'est pas du tout, et j'ai voulu ré-évaluer les deus ex machina pour m'apercevoir leurs possibles vrais utilités. D'un côté, on peut y voir un outil opportuniste pour abréger des situations et des péripéties qui ne sont pas le coeur du film, de l'autre, on peut y voir les moments où le récit cesse d'être cohérent pour plonger dans une fiction alternative, et où l'on pourrait voir une vision d'une possible fin. Comment les Looney Tunes auraient pu disparaitre si une chose aussi anodine qu'un chewing gum contaminé n'avait pas poussé les humains à s'enfoncer encore plus dans leurs mauvaises consommations des loisirs ? Comment une fenêtre mal fermée dans un laboratoire en chine a pu causer des millions de morts et confiner l'entièreté de la planète pendant plus de 2 ans ? A l'inverse, à l'image d'un Château Ambulant, comment le monde aurait pu être utopique si la seconde guerre mondiale n'avait pas fracturé l'Europe ? Dans un monde où un événement aussi stupide qu'un chewing gum mutant zombifiant toute la population, comment il est absurde d'imaginer qu'un concours de circonstance hasardeux peut sauver le monde ? Tout l'humour et le propos de fond du film est là. Comment Daffy et Porky peuvent sauver un monde autant au bord du goufre, alors que ce sont deux personnages de cartoon ? Ainsi, la fin me parait plus amer et intelligente avec du recul. Malheureusement, on ne peut même pas être sûr du véritable message de cette fin, ainsi que de l'utilité même du film, qui semble être conçu comme un divertissement régressif, comme un chewing gum que l'on est voué à mâcher puis à jeter. En cela, on peut y voir le plus grand échec du film


Daffy et Porky sauvent le monde me fait penser à Les Looney Tunes passent à l'action de Joe Dante, que ce soit dans sa volonté de regard critique sur le système hollywoodien, l'hommage aux Looney Tunes utilisés pour réparer une injustice lié à la dure réalité du monde (d'un côté Brendan Fraser contraint de sortir de littéralement sortir d'Hollywood pour littéralement se surpasser et littéralement ne plus être l'ombre de lui même, de l'autre le monde entier en proie à la folie furieuse ainsi que leurs places dans la société), mais aussi dans les tourments de tournage et de conception. Je ne serais pas étonné que le réalisateur, visiblement habitué à ne réaliser que des séries d'animation en lien avec l'univers du cartoon, n'a pas eu son mot à dire quant à la finalité du projet, et cela expliquerait l'incompréhension sous jacent qui ternie la fin de visionnage. C'est un film que j'aurais surement besoin (et l'envi) de revoir à tête reposé, mais il est indéniable que le film arrive, non pas sans peines, à remettre à l'honneur les Looney Tunes dans un film qui se tient, qui fonctionne, mais dont on peut remettre en question l'utilité.


13/20


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