Dead birds est plutôt une bonne surprise pour un direct dvd, de bien meilleur niveau que la plupart des films d’épouvante-horreur sorti au ciné en 2005. Avec un meilleur budget, il aurait bien mérité une sortie ciné.
En 1863, un groupe de brigands dont certains sont des anciens (déserteurs) de l’armée confédérés font un braquage sanglant, et particulièrement gore, dans une banque. Dans leur fuite vers le Mexique, ils font étape dans une demeure de style colonial isolée dans la campagne près d’un champ de maïs. Il s’avère que cette demeure est hantée et leurs occupants d'une nuit vont subir d’étranges manifestations.
Le film est plutôt réussi pour son climat inquiétant et est plutôt bien écrit mais il souffre de quelques longueurs et d’un petit budget, qui se ressent dans les décors assez sommaires et les effets spéciaux.
Je n'ai pas en revanche pas bien compris le rapport entre le film et son titre sauf qu’on voit durant un bref moment un oiseau mort (intitulé un film sur une seule image, c’est assez étonnant).
Créée
le 20 avr. 2016
Critique lue 713 fois
D'autres avis sur Dead Birds
Bonjour à tous amis de l'angoisse, aujourd'hui attaquons nous à Dead birds. Un groupe de gangsters doivent affronter des créatures étranges dans un lieu isolé.Allez tchuss crevez tous Mouhaha 😈 😈...
le 15 avr. 2024
Réalisé par Turner en numérique sphérique panavision avec un budget minuscule, dédié vidéo. Oiseaux de morts commence par les personnages dans un braquage violent en Alabama au XIXe siècle, avec une...
Par
le 16 mars 2024
Peu explicative, l'histoire aurait pu être plus approfondie, on reste sur sa faim. Dommage, certains éléments étaient intéressants.
Par
le 21 juin 2016
Du même critique
Ce film d'Oliver Hirschbiegel retrace l’itinéraire d’Elser qui a commis un attentat à la bombe afin d’éliminer Hitler en 1939 afin de mettre fin à la transformation de la société allemande par le...
Par
le 20 avr. 2016
2 j'aime
Reporter de guerre au journal Ouest-France, traumatisé par la perte de son ami photographe lors d’une mission, Jacques Mayano (Vincent Lindon) va accepter, pour faire une pause, de rejoindre une...
Par
le 6 mars 2018
1 j'aime
La difficulté est lorsqu’on a une bonne idée de base de la ré exploiter dans une suite. C’est le cas dans Kingsman, comme dans kick-ass. On a des premiers volets inattendus qui sont des réussites par...
Par
le 6 mars 2018
1 j'aime
1
