Après un premier volet réalisé par Tim Miller très bon aux gags hilarants et aux effets spéciaux impressionnants faisant un grand succès, Deadpool 2 revient pour le plus grand bonheur des fans réalisé cette fois-ci par David Leitch avec une nouvelle mission pour notre super héros déjanté celle d’intégrer les X-Men ou plutôt X-force pour combattre un jeune mutant en quête de vengeance. Une missions qui réserve du grand spectacle pour le public.
On retrouve donc un casting important avec à nouveau Ryan Reynolds à l’interprétation parfaite et délirante dans son personnage de super héros obsédé mais aussi Morena Baccarin, Brianna Hildebrand ou encore T.J. Miller. Petit nouveau de taille cette année Josh Brolin pour un des rôles principale du film et lui aussi performant. L'incroyable transformation du visage des personnages de Deadpool et Cable (Ryan Reynolds et Josh Brolin), un travail remarquable et titanesque par les maquilleurs et très réalistes.
Côté effets spéciaux là encore tout comme son premier volet le spectateur est servie; bourrées de scènes de violences et combats avec ces belles images de synthèses et de belles séquences comme celle d'introduction du film ajoutant à cela un humour noir et omniprésent à toute les séquences ou presque car même dans les moments tristes, émotifs *
(la mort de la femme de Deadpool ou lorsque Cable parle de la mort de sa femme)
du film, le réalisateur à su mettre un peu de gaieté et d'humour en insérant des répliques trashs pour à nouveau régaler le spectateur, des dialogues percutant et superbe.
Il ne fais pas l'impasse non plus sur les références cinématographiques et comics cités : X-men, Hulk..., un clin d’œil à l'univers Marvel qui n'échappe pas.
Sans oublier les musiques très recherchées et bien intégrées aux séquences, tout comme celle de Céline Dion auquel c'est une grande surprise.
Un Deadpool 2 presque aussi bon que son prédécesseur, bourrées de gags, de gores et d’effets spéciaux, celui reste très captivant et hilarant. A voir pour les fans de l'univers Marvel et de super-héros
Quatre ou cinq moments. C’est tout ce qu’il faut pour être un héro. Les gens pensent qu’on se réveille en héro, qu’on se brosse les dents en héro, qu’on éjacule dans le bac à savon en héro. Mais non, être un héro ça ne prend que quatre ou cinq moments. Des moments qu’on passe à faire les saloperies qui dégoûtent les autres.