Niveau titre j'avais de quoi faire avec ce film, mais je garderai le premier qui m'est venu donc.
Il y a une Rousse dans un imper jaune, qui est juste WOAH. Le genre de nana a se damner par terre. Un visage qui peut être à la fois beau dans la sévérité et la jovialité, des cheveux roux, mais d'un roux. Subjugué je fus, et je suis encore.
Jane Asher imprime durablement ta rétine et la pellicule de son aura envoûtante au possible que tu en es réduit à ne plus vouloir qu'elle sorte du cadre, qu'elle y reste en femme fatale qu'elle est dans ses robes des 70's à la fois soft et diablement sexy.
Les couleurs sont criardes à l'instar de son imper et de ses cheveux flamboyants.
Nous voilà irradiés à vie, en sachant que lorsqu'on aura le besoin de voir à la fois un bon film et une actrice belle comme la plus belle des rousses, on n'aura qu'à glisser en douceur le blu ray de Deep end dans notre console/lecteur blu ray pour que nos voeux soient exaucés sur le champ!
Le reste du film oh, il est très bien aussi, les autres acteurs, oh ils sont à la hauteur, au moins ça.
Oui parlons au moins de John Moulder-Brown qui s'en sort haut la main en campant un Mike très attachant, très amoureux lui aussi, et qui ne le comprendrait pas? Une déesse est devant lui, forcement, il s’agenouille.
Et les plans sous l'eau, tu les aimes mes plans sous l'eau?
Et mon érotisme ambiant, tu l'aimes mon érotisme ambiant?
Et ma photo de la mort qui tue, tu l'aimes ma photo de la mort qui tue?
Et ma légèreté, tu l'aimes ma légèreté?
Et mon hot dog avec moutarde, tu l'aimes mon hot dog?
Et Jane Asher, tu l'aimes Jane Asher?
Amen!