Grand fan du maréchal/inspecteur (selon les réformes administratives locales) Nico Giraldi, je tente de les visionner dans l'ordre afin de suivre ses propres démêlés avec les femmes, les maisons, les enfants...le fil rouge du truc quoi ;-)
Ici, on est tjs dans le même squelette de récit que d'habitude, avec enquête à 2 balles, Nico en bleu de travail qui doit expliquer aux flics qu'il en est un et Bombolo. A noter la présence de Enzo Cannavale (le maire de Cinema Paradisio) qui fait le taf en directeur de resto chinois hystérique.
Le truc vraiment relou, c'est Tomas Milian en chinois de pacotille, ça fatigue très vite. Il devait payer ses impôts ou quoi ?
Sinon, 2-3 trucs rigolos comme la construction de la maison et l'abatage du héros, qui tente de ne pas jurer comme un charretier romain un jour de grève.
Pour les fans. On reste dans le truc.