Si Goldeneye m'a jamais réellement emballé, c'est qu'il baignait dans une ambiance post guerre froide trop classique, montrant de grosses faiblesses au niveau des méchants. Ce volet en revanche propose un bad guy inédit, à l'égo démesuré, toujours prêt à sortir la petite phrase qui "tue" ^^ Un méchant réussi qu'on doit à l'excellent Jonathan Pryce ! "Demain ne meurs jamais" est rythmé aux petits oignons, jonglant avec des scènes d'actions spectaculaire (la course poursuite dans le garage souterrain, la moto !). Ce volet propose également sa part de gadgets pas trop envahissant et une James Bond girl à la hauteur, bien loin de la potiche prête à être croquer par notre célèbre agent secret !