Essayons d'analyser
Je tiens à dire que cette critique est ma première, mon vocabulaire n'est pas extraordinaire et je suis assez jeune, certes. Je suis ouvert à tous conseils tant qu'ils sont constructifs évidemment...
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le 11 mars 2023
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Film de Sam Taylor-Johnson, Richard Prince, Gaspar Noé, Larry Clark, Marco Brambilla, Matthew Barney et Marina Abramović (2007)
Quand tu donnes carte blanche à 7 pégus pour qu'ils apportent leurs visions de la pornographie, c'est bonne idée ma foi, quand dans le lot y en a un qui en a rien à cirer, un qui aime pas le porno, un qui a pas de talent et un qui a pas compris le sujet, c'est bonne idée sodomisée, ma foi.
1 - HOIST : Le meilleur probablement, au moins il y a une proposition de quelque chose avec une démarche artistique. Un sexe végétal qui s'érectionne au ralenti. Pourquoi pas dans l'idée.
2 - BALKAN EROTIC EPIC : Celui là est une vaste blague, parfait pour un sketch des inconnus, certainement très embarrassant pour un producteur.
3 - HOUSE CALL : C'est celui de la personne qui en a rien à cirer.
4 - IMPALED: Le plus intéressant, celui de Larry Clark. Un casting réel de jeunes adultes lambda dont un seul aura l'occasion de choisir et de consommer une actrice porno professionnelle. Assez drôle et assez captivant dans le concept. J'ai eu l'occasion de le montrer 2 ou 3 fois et ça s'est toujours avéré divertissant.
5 - SYNC : Je fais ça en 48 heures. J'espère que le type qui a pondu ce petit montage a pas reçu 1 centime.
6 - DEATH VALLEY : La meuf qui avoue en ITW ne pas aimer le porno. Résultat, un gars qui galère à se masturber dans la nature, en plan fixe, pendant... 7 minutes. Cadeau.
7 - WE FUCK ALONE : Le Noé. 30 minutes épileptiques d'un camé qui baise une poupée gonflable, avec des cris de bébé en fond. Merci l'expérience. Beaucoup trop long et assez peu impactant au final.
C'est globalement tellement un four que aucune note n'est presque envisageable, mais l'opus de Larry Clark vaut quand même un certain coup d'oeil il me semble.
C'est tout.
Créée
le 2 mai 2023
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