Précaire mais optimiste
Dans sa trilogie (avec E primavera et Sous le soleil de Rome) consacrée au quotidien de familles très modestes, Deux sous d'espoir s'impose par ses qualités dignes de la Commedia dell'arte. On est...
le 9 août 2019
2 j'aime
Un jeune homme revient de la guerre dans son petit village situé juste en bas du Vésuve, et peine à trouver un emploi stable, condition sine qua non pour épouser la jeune fille qui vient de lui déclarer sa flamme. Découverte enchantée du cinéma de Renato Castellani, qui pratique ici un néo-réalisme pur jus, mais empreint d'une touche d'optimisme permanent, comme le titre du film le laisse pressentir, qu'on retrouve assez peu dans le genre hormis chez De Sica. Ce qu'il y a de plus merveilleux dans le cinéma italien, c'est qu'on ne l'épuise jamais; à peine pense-t-on être en voie d'épuisement de filmographies de grands maitres qu'on en découvre de nouveaux... Le plus grand cinéma du monde, celui avec lequel je pourrai finir exclusivement ma vie de cinéphile.
Créée
le 18 janv. 2025
Critique lue 8 fois
D'autres avis sur Deux sous d'espoir
Dans sa trilogie (avec E primavera et Sous le soleil de Rome) consacrée au quotidien de familles très modestes, Deux sous d'espoir s'impose par ses qualités dignes de la Commedia dell'arte. On est...
le 9 août 2019
2 j'aime
Le distributeur Les films du camélia poursuit ses belles initiatives en matière de cinéma de patrimoine. Ainsi, trois ans après la ressortie de L’enfer dans la ville (1959) de Renato Castellani,...
le 2 avr. 2022
1 j'aime
Un jeune homme revient de la guerre dans son petit village situé juste en bas du Vésuve, et peine à trouver un emploi stable, condition sine qua non pour épouser la jeune fille qui vient de lui...
le 18 janv. 2025
Du même critique
La carrière de Love n'aura duré que de 1965 à 1970. Un bien court moment, mais qui marquera à jamais l'histoire de la musique rock et qui fera du groupe le plus grand représentant du psychédélisme...
le 25 avr. 2012
67 j'aime
10
Pourquoi ce film est-il si important dans l'histoire du cinéma moderne ? Voici une question qui mérite d'être analysée, comme il convient aussi de s'arrêter quelque peu sur le cas Brian de Palma, le...
le 24 avr. 2012
60 j'aime
4
Bien sûr, cela reste un divertissement agréable, surtout en salle, mais le film est tout de même une déception surtout en regard des trois excellents opus qui précédaient, et qui ont fait que...
le 8 mai 2024
49 j'aime
2